Forage en Haute Mer
Une armada de puissantes machines une foreuse qui creuse des puits à des km sous l’eau un navire qui pose des pipelines au fond de l’océan. Et une immense plateforme de gaz conçu pour flotter dans le tumultueux golfe du Mexique. Voilà les éléments d’un projet audacieux la construction d’un réseau de puits de gaz naturel et de pipelines à une profondeur record 2700 mètres sous l’eau cependant la saison des ouragans approche, il n’y a donc plus de temps à perdre. Le golfe du Mexique, c’est au abrite l’un des gisements de gaz les plus riches au monde.
Un projet ambitieux est en cours pour extraire cette énergie des fonds marins. Il est baptisé Independent’project objectif creuser des puits et installer des pipelines pour acheminer du gaz naturel vers une plateforme centrale puis vers la côte où, il sera vendu. Les réseaux de gaz naturel existe depuis longtemps dans la région et ça descend mais aucun projet de plateforme n’a encore jamais été réalisé à cette profondeur depuis des années, on trouve des milliers de puits sous marins dans les eaux peu profondes du golfe du Mexique, ils fournissent 20 % de la consommation domestique de gaz naturel aux états unis. Mais la demande ne cesse d’augmenter et les puits du golfe fonctionne déjà à plein rendement les compagnies d’énergie savent depuis longtemps qu’il existe des réserves de gaz dans les eaux profondes de la région mais jusqu’ici la technologie ne permettait pas de forer sous le plateau continental à 2700 mètres de profondeur.
C’est le projet de forage en haute mer le plus audacieux qui ait jamais existé. Depuis des mois plusieurs navires géants construisent un vaste réseau sous-marin de canalisation de gaz, ils doivent relever cinq défis majeurs. Causés 15 puis à 2700 mètres sous l’eau et environ 5000 mètres dans le sol marin sur une étendue de 2900 km². Mettre en place des pipelines pour relier chaque puits est une plateforme centrale.
Poser des câbles le long des pipelines afin que les ingénieurs sur la plateforme puisse contrôler le flux de gaz de chaque tweet installer des piliers massifs appelé aussi pile pour fixer la plateforme centrale au fond de l’océan et enfin. Construire un énorme gazoduc pour acheminer le gaz de la plate forme vers la terre ferme à plus de 200 km de là la plateforme est en cours de fabrication à Ingleside au Texas une fois installé dans l’océan, elle sera le nœud du réseau, elle purifiera le gaz et l’acheminera jusqu’à la côte. Mais d’abord, il faut construire un réseau de gaz, c’est là qu’interviennent plusieurs navires géants. Ledit potter millénium effectuera la première mission creuser les puits.
Puis le lorelei construira un réseau de pipelines pour relier les puits à la plate forme centrale. Le taux issa perseus installera des câbles de commande le long des pipelines un seul navire peut s’attaquer à l’étape suivante la construction du gigantesque gazoduc jusqu’à la côte le solitaire. Enfin le bol d’or sera chargée d’installer les énormes piliers de fixation pendant ce temps une autre série de puissantes machines construit la plateforme centrale. La plateforme est grande comme un pâté de maison pour pouvoir flotter au dessus des gisements de gaz dans le golfe, elle devra être transportés par ce gigantesque bateau à 4 tours le my teeth à 23.
Montez la plate forme massive sur la coque du navire ne sera pas chose facile, il faudra faire appel à ces énormes appareils de levage qui ressemblent à des grues pour installer le réseau de gaz et assurer son fonctionnement chacune de ces machines devra accomplir sa mission sans faute mais la nature peuvent venir perturber les projets les mieux préparés le golfe du Mexique est connu pour ses violentes tempêtes et l’été est la saison des ouragans. Cette tempête importante, on fait de l’été 2005 la saison de tous les records. Cette année ce pourrait être encore pire. Première étape mettre en marche les puits de gaz que ledit potter millénium à creuser voici quelques mois.
La tige de forage de ce navire à d’abord atteint le sol marin à 2700 mètres de profondeur puis, elle a creusé à 5000 mètres dans le sol pour parvenir aux poches de gaz naturel soit un total de sept mille 700 mètres sous la surface de l’eau. À présent le deepwater millénium va apporter une réponse à la question suivante ce puits laissera-t-il échapper suffisamment de gaz pour être rentable. Pour tester le flux de gaz le navire va descendre doucement cette colonne fragile de valve et de capteurs jusqu’au fond du puits. Le millénium est parfaitement adapté à cette tâche, c’est un navire de forage avec ses 220 mètres de long, il est plus étendu que deux terrains de football l’énorme tour qui se trouve sur le pont le derrick face soulevé la colonne et la descendre dans l’eau par un trou percé au centre du navire.
La colonne va transiter par ce conduit un tube d’acier d’un peu moins de 2700 mètres de long qui s’étend de la surface de l’océan au sommet du puits. Une fois les appareils de mesure installés dans le puits les ingénieurs pourront voir depuis le navire si le gaz naturel, c’est cool librement, il s’apprête à faire entrer la colonne dans le conduit du puits Jason, c’est une opération délicate allait bien en place le moindre choc pourrait endommager les joints qui retiennent le gaz à l’intérieur et l’eau à l’extérieur. Attention à tes doigts de faire mal les hommes placent la colonne en eau du conduit et commensal abc. Non pas qu’il soit mais soudain, elle s’arrête.
Si la colonne est coincé cela pourrait retarder l’opération et coûter cher. Ça peut, nous prendre 10 à 12 heures pour régler le problème. Tu vas bientôt lui dire d’arrêter dès que ça entre en contact, il faut qu’il arrête les hommes examine la colonne pour identifier le problème, elle ne bouge pas. Ils essaient de l’agité doucement, c’est dans regarde, il faut la pousser comme ceci, tu peux aller voir là bas.
Voilà la solution la colonne glisse enfin à l’intérieur du tube, il faudra deux jours pour que le matériel de mesure parvienne à destination. Deux jours pour que l’équipe puisse répondre à cette question cruciale le puits creusés au fond de l’océan fonctionnera-t-il. Ledit potter millénium navigue au dessus d’un puits de gaz dans le golfe du Mexique. Après plusieurs revers et retards les hommes reçoivent enfin le signal qu’ils attendaient le matériel de mesure a atteint le cuit par 2700 mètres de fond, il est temps de savoir si ce dernier peut produire du gaz.
À l’aide d’un ordinateur les ingénieurs ouvre les valves à l’intérieur du puits et le gaz commence à se répandre. L’équipe contrôler chaque capteur et chaque valve le test est un succès le gaz, c’est cool librement du puits en fin de compte, il faut bien faire le travail en amont ça prend peut-être un peu plus de temps mais, c’est essentiel le millénium à creuser 15 puis qui fonctionne parfaitement à présent, il est temps de passer à l’étape suivante posée des pipelines qui relieront chaque puits à la plate forme centrale, il s’agit d’installer avec précision un vaste réseau de tubes au fond de l’océan un autre navire prend la relève. Le lot relais est expert dans l’installation de pipelines. Il s’étire sur 183 mètres de long soit la longueur de deux terrains de football un énorme équipements de fabrication de tubes occupe près des deux tiers de sa coque à l’arrière une rampe de 60 mètres appelée stinger envoie les pipelines au fond de l’eau créé un réseau de pipelines, c’est comme construire un système de canalisation à près de 3000 mètres sous la surface de l’eau toute la difficulté consiste à poser chaque tube sur l’emplacement prévu pour lui, il suffit de dévier de quelques centimètres pour créer un énorme enchevêtrement de tuyaux le vent les courants et la profondeur record rendre la tâche encore plus dure, on n’a jamais travaillé ensemble et tous ces petits tuyaux par 2700 mètres de fond, c’est comme un immense puzzle le lot rôle et n’a que quelques mois pour fabriquer et poser les pipelines avant l’arrivée de la plateforme de production de gaz or l’été la saison des ouragans, il faut installer ce pillot avant d’être surpris par le mauvais temps.
Sous le pont se trouve une immense calle contenant près de 10 tonnes de tubes d’acier les tuyaux ne peuvent pas être soudé au fond de l’océan cela se fait ici sur une chaîne de soudure équipés de matériel de pointe. D’énormes appareils soulève des tubes de 12 mètres de la cale pour les placer sur la chaîne de soudure les tubes que l’on voit ici formeront un seul et même conduit de 72 km de long. Cette station de soudure fonctionnent simultanément. À chaque station, on applique une couche supplémentaire ce qui renforce les soudures.
En haute mer la moindre faille pourrait briser le conduit ce qu’ils arrêteraient l’écoulement de gaz. On examine donc chaque soudure avant de faire sortir le tube par l’arrière du navire et de le placer sur la rampe où, il est emmené au fond de l’océan. Curieusement même un tube d’acier de plus de 2 centimètres et demi d’épaisseur ploie sous son poids comme un tuyau d’arrosage 3600 mètres de tubes sont suspendus entre le navire le fond de l’océan et forme un arc j’ai le relais fonctionnera 24 heures sur 24 pour produire jusqu’à 5 km de tubes par jour ce qui en fait l’un des navires les plus rapides du genre au monde. À présent que la construction de puits et de pipelines est en cours, il est temps de passer à l’étape 3 du projet poser les câbles qui contrôleront le flux de gaz de chaque pluie cette tâche revient au toys à percer.
C’est l’un des seuls bateaux au monde qui puisse installer des câbles à cette profondeur des km de câbles sont enroulés sur ces immenses bobines et le pont arrière est plus grand que trois terrains de basket. C’est bien nécessaire car, c’est ici que les énormes connecteur de câbles sont entreposés, on installe un connecteur près de chaque poule puis, on pose un câble qui court le long du tube jusqu’à la plateforme centrale. Ces câbles constitue une partie essentielle du réseau en fournissant l’énergie électronique et hydrauliques pour ouvrir et fermer les valves des pluies, ils permettront à l’ingénieur de contrôler le flux de gaz d’un puits depuis la plateforme centrale à 70 km de là. Première étape sortir soigneusement le câble de la can.
Sous le pont, c’est énorme bobines contiennent le câble le plus long du chantier 20 km de long pour 1200 tonnes soit le poids de 700 voitures. On fait passer l’extrémité du câble par un rouleau afin d’empêcher que ces composants internes ne s’en sortir, c’est une manœuvre difficile qui oblige à relâcher le câble entre deux grues. Une fois en place, il est à baisser jusqu’au pont. On attache une tige au bout du câble.
À présent, il faut insérer la tige dans le connecteur qui se trouve déjà au fond de l’eau, c’est comme mettre une fiche dans une prise à ceci près que le câble fait environ trois km de long deux énormes tensio nurse approche du cap. Leurs bras qui s’apparente au bras d’un tracteur supporter tout le poids du câble lorsqu’il est abaissé. La descente se fait par un trou au centre du navire sur 2700 mètres. C’est là que le véritable défi commence insérez la tige dans une prise grande comme un saut une fois que le câble est dans l’eau, on ne peut plus faire machine arrière et ça descend ça descend après un trajet de quatre heures, c’est le moment de vérité.
Le câble arrive au fond de l’océan à 3 4 mètres du connecteur ces véhicules télécommandés sont les yeux et les mains des ingénieurs, ils sont lancés depuis le navire au début de chaque opération sous marine sans eux les ingénieurs ne peuvent pas installer la tige du câble. Il dirige le toys à perseus de manière à se rapprocher des structures métalliques s’il heures un objet et qu’ils endommagent la tige high tech ce câble d’une valeur de plusieurs millions d’euros sera perdue. Les hommes d’utoya perseus sont tendues le succès du projet dépend de leur capacité à installer les câbles de commande le long du vaste réseau sous marin mais, ils ont du mal à aligner un de ces câbles sur le connecteur quand le coup, c’est un véritable défi de faire glisser la tige du câble dans la petite prise du connecteur, c’est comme tirer un but depuis un avion à 2700 mètres d’altitude le vent et le courant marin font constamment dévier le perseus à cette profondeur un navire ne peut pas jeter l’ancré pour le perseus et des autres navires géants, il existe une technique pour atteindre exactement sa cible. Le positionnement dynamique des ordinateurs mesure chaque facteur influant sur la position du bateau et contrôler les moteurs pour s’arrêter à un point précis aller en avant en arrière et même de côté.
Wilders. Sur le pont du perseus les ingénieurs s’en remettent à un véhicule télécommandé pour diriger la tige vers sa cible. Ils sont près du but le véhicule mais la tige en place ça y est mais, il ya un problème ça ne ferme pas mais là sur la plaque pivotante et essai de la tournée la tige est en sens inverse et le véhicule ne peut rien faire pour la retourner sans une connexion parfaite ce câble sera inutilisable les hommes trouvent alors une stratégie, il change la position du perseus en tournant le navire fait pivoter le câble et la tige se placent sur son axe, on a laissé un mètre de jeu à l’intérieur le plan fonctionne et entendu, je vais m’arrêter dessus la tige finit par entrer dans la prise. Que la suivre et contrôler la prise de contact à présent que le plus dur est fait le perseus peut poser les km de câbles qui contrôleront le flux de gaz du puits les puissants navires ont accompli trois des cinq grandes étapes du projet de forage en mer.
Ils ont testé les 15 puis posez les quelque 340 km de tubes pour transporter le gaz jusqu’à la plateforme centrale et installer les câbles de commande à travers le réseau, il reste une étape majeure construire le gazoduc géant pour acheminer le gaz vers la côte, il faudra environ 20000 tubes et des mois de travail pour construire ce conduit de 217 km de long et un seul navire au monde a la capacité de le construire le solitaire l’énorme gazoduc doit être installé avant que la plateforme centrale ne pompe du gaz que deux vaisseaux serait prêt à tenter cette mission mais le solitaire fait figure d’exception, c’est le plus grand navire de pose de tubes au monde. Il fait 365 mètres de long, on pourrait donc aisément coucher la tour Eiffel sur son pont une chaîne d’assemblage de tubes couvre toute la longueur du vaisseau et à l’arrière une énorme rente envoie les tubes au fond de l’eau. Comme le lorelai l’autre navire de pose de tubes du projet le solitaire construit le gazoduc en un mouvement continu, ils soudent les tubes à l’intérieur de sa coque puis dépose le conduit ainsi obtenu au fond de l’eau. Mais, il le fait à bien plus grande échelle que le relais les six grandes cale du solitaire contiennent plus de 21 mille tonnes de tubes soit plus que le poids de 120 avions gros porteurs.
Mais, elles ne restent pas longtemps plein. Le solitaire peut poser six km et demi de gazoducs par jour d’énormes barges réalimente constamment le navire en tubes pour le maintenir en activité. Ses lattes les grues du navire interviennent, elles sont ultra rapide. La plupart des grues n’ont qu’une seule flèche ces monstres ont deux bras ce qui leur donne une précision et une rapidité remarquable.
Ce sont des modèles uniques ce sont les seuls gruat de flèches, elles sont très rapides pour terminer le projet dans les temps le solitaire doit construire et poser rapidement le gazoduc. Tout se passe ici sur cette chaîne de soudure où les ouvriers transforme les différents tubes en un seul conduit 2 217 km de long les tubes de 12 mètres et 2 6 tonnes et demie sont assemblés ici. Voici le secret du solitaire. Les autres navires ne peuvent assembler que des tubes de 12 mètres pour fabriquer un seul gazoduc à la fois le solitaire lui peut traiter ces monstres de 24 m.
Pour commencer les ouvriers rabote les extrémités du tube pour obtenir une surface lisse et propre puis le tube passe par huit différentes stations chacune d’elles venant renforcer les soudures un appareil spécial manœuvre même à l’intérieur de l’énorme conduit. Il faudra plus de 21000 soudure pour fabriquer le gazoduc. Une fois ce travail achevé une cloche sonne et le conduit semble sortir de l’arrière du navire pour entrer dans l’eau mais ce n’est pas vraiment ce qui se passe au fond de l’océan des km de tubes sont reliés directement aux navires telle une encre géante et elle des chenilles de tracteurs des normes tensionnelle presse le gazoduc pour le retenir ou le faire sortir, c’est vraiment le navire qui fait avancer le conduit pour qu’ils passent par la chaîne de soudure et qu’il entre dans l’eau. Le solitaire est en activité 24 heures sur 24 pour finir le gazoduc dans les temps, il n’a encore jamais posé un pipeline à cette profondeur mais le plus dur reste à faire installer un grand raccords pour relier les futur pipeline au gazoduc.
Fixer leur accord au gazoduc ne devrait pas poser de problème la difficulté sera de sortir cette structure volumineuse d’une chaîne de montage conçu pour des tubes. L’équipe a un plan mais, c’est risqué. À 216 km de là sur la côte texane le travail s’accélère pour terminer la dernière partie du projet la plateforme centrale. Cette énorme structure flottante traitera tout le gaz provenant des quinze puits sous marin et le fera transiter par le gazoduc jusqu’au littoral.
La plateforme sera bientôt remorquée jusqu’au gisement de gaz mais d’abord, il faut finir de la construire. L’installation se compose de deux parties l’unité supérieure ou plate forme de traitement et l’unité inférieure une coque qui maintiendra la structure à flot cette plate forme massive produira 300 millions de mètres cubes de gaz naturel par jour ce qui couvrira les besoins domestiques de 5 millions de ménages américains une fois terminée cette structure sera le nœud du plus grand réseau de production de gaz du golfe et la plateforme de forage la plus profonde au monde mais, il faut d’abord rassembler les unités supérieurs et inférieurs. Un navire géant arrive au port le mighty à 23. À l’arrière l’énorme coque de flottaison une structure de quatre tours sur laquelle la plateforme reposera le mighty servante à transporter cette coque depuis Singapour son lieu de construction ce qui représente un trajet de quelque 16 mille km à présent, il doit décharger sa cargaison et pour cela, ils procèdent d’une manière très inhabituelle à l’intérieur des normes ballast vont s’immerger lentement et le navire va ainsi descendre de deux étages sous l’eau puis les remorqueurs déchargeront la coque.
C’est simple mais dangereux. Le navire et sa cargaison peuvent très vite devenir instable. Et les immenses tours de la coque peuvent prendre le vent comme des voiles en cas de bourrasques le bateau risque de tanguer détruisant tout sur son passage. Les conditions météorologiques doivent être parfaites aujourd’hui cependant la nature en a décidé autrement.
Dans le golfe du Mexique le solitaire est sur le point d’attaquer une mission difficile. Le navire a déjà installé des km de conduits pour acheminer le gaz vers la côte. À présent, il doit installer un énorme raz corps afin de relier les futur pipeline au gazoduc. D’abord, il faut fixer leur accord au gazoduc mais, il y a un problème.
Les deux éléments doivent être parfaitement alignés. Or l’outil prévu à cet effet et coincés dans leur accord ce qui bloque toute l’opération. Tandis que le reste de l’énorme usine à temps les ingénieurs se démènent pour libérer l’outil, on ne peut pas de retirer à la main, on va utiliser un treuil pour le dégager. Le problème se règle à l’aide d’un treuil à chaîne et à la force des bras le solitaire est de nouveau en activités et leurs accords est acheminé vers la chaîne de soudure, c’est là que l’opération devient dangereuse quand le gazoduc sort de la coque du solitaire trois énormes pince appelé tensio supporte son poids soit 655 tonnes de tubes suspendu entre le navire et le fond de l’océan.
Mais pour laisser passer les normes raccord chaque pensionnaire doit être ouvert un parent et tout le poids du gazoduc est transféré sur deux pensionnaires seulement. Si l’un d’eux vient à lâcher des centaines de mètres de tube s’enchevêtrent rond en descendant au fond de l’océan le solitaire commence par faire glisser leurs accords sur la chaîne de soudure. Le premier des trois pensionnaires s’ouvre. Tous les regards sont tournés vers leur accord.
Les deux autres pensionnaires ploient sous la charge mais résiste. Deux fois encore intentionnelle s’ouvre et tout le poids est supporté par les deux autres. Enfin leur accord a franchi les tensio et descend au fond de l’eau, c’est un grand succès pour le solitaire et un pas de plus vers l’objectif final installé le gazoduc dans les temps sur la côte texane la gigantesque plateforme de production de gaz et la coque qui la fera flotter doivent être assemblés mais d’abord, il faut sortir cette coque du navire le my teeth à 23. Cet énorme cargo s’enfonce dans l’eau pour décharger sa cargaison par flottaison.
Depuis ces dernières heures une forte brise empêche de déplacer la coque enfin le vent tombe à présent, il faut s’immerger le my teeth à 23 ce qui est une manoeuvre délicate les tours imposantes du navire se dresse comme quatre énormes voile chaque fois que le vent souffle la structure massive exerce une très forte pression sur les amarres. Sur le pont du mighty servante le capitaine contrôle soigneusement l’immersion des ballasts. Au cours des 10 prochaines heures le navire va s’enfoncer lentement dans les eaux du port. Enfin après un long périple depuis Singapour la coque est à flot.
À présent, nous allons assister à une opération de levage époustouflante la plateforme de gaz à la taille d’un pâté de maison et pèse près de 9000 tonnes. Il va falloir la montée de 60 mètres avant de la placer stratégiquement sur les piliers de la coke, c’est comme soulever un navire de guerre de 150 mètres pour accomplir cette tâche, on a recours à un appareil de levage spécialement conçu pour les charges lourdes, c’est l’un des plus grands du genre au monde première étape faire glisser les accastillage le long de ses rails et sur cette barge pour cela, il faut deux énormes treuil et un peu de graisse les hommes en salopettes blanches applique de la Grèce sur les rails, on appelle ça de la cire de potiron parce que ça a la couleur du potiron metz et gluant collants ma femme me dit que chaque fois que, je marche dessus ça restait collé. Les treuils tourner et la plateforme de sept étages commence à bouger. Au bord de l’océan l’opération se corse dans les ballasts de la barge, il faut soigneusement ajustés le niveau de l’eau pour supporter l’énorme charge.
Huit heures plus tard la plateforme est enfin sur la barge. Des remorqueurs place la plateforme sous l’appareil de levage. Et les ouvriers attaches des normes portiques en a pour la soulever mais un vent fort souffle de nouveau dans ces conditions, il sera quasiment impossible d’aligner parfaitement la coque sous la plateforme doit s’assurer que la coque dans la bonne position avant de commencer l’opération de levage parce qu’on n’a qu’une tolérance de 7 à 8 cm et donc la coque doit être parfaitement placé pour l’heure l’opération est en suspens mais cela ne ralentira pas un autre navire géant dans le golfe du Mexique, on prépare l’emplacement définitif de la plate forme pour que celle ci résiste au zoo ou leuze du golfe, il faudra de solide bloc d’ancrage et un navire spéciale pour les installer. Le bolzer les colonnes de sa coque en forme de pontons le rendent très stable, c’est essentiel pour soulever les énormes blocs d’ancrage qui stabiliseront la plate forme au fond de l’océan avec son pot massif, il ressemble davantage à une plate forme qu’un navire.
Si le bolzer n’installe pas correctement les blocs d’ancrage la plateforme risque de dériver. C’est ce qui est arrivé à cette superstructure sonore hausse était la plus grande plateforme du golfe jusqu’à ce que l’ouragan dennis l’arracha ses amarres. Pour être sûr que cela ne se produise pas les ingénieurs vont installer 12 blocs d’ancrage au fond de l’eau un câble de quatre km de long relaiera chacun de ses piliers à la plateforme flottante le bol d’or doit relever un défi de taille fixé chaque pilier au bon emplacement et à niveau par près de 3000 mètres de fond s’il y parvient ce seront les piliers les plus profonds jamais installé en mer pour cela, on utilisera les grues du navire parmi les plus puissantes du genre ensemble, elles peuvent soulever 7000 tonnes mais ce n’est pas qu’une question de force, c’est aussi une question de précision le bol d’or est équipé de sept moteurs qu’ils aident à maintenir sa position. En effet, il est essentiel de rester en place surtout pour installer des piliers de cette taille chacun d’eux pèse plus de 200 tonnes soit l’équivalent de cinq semi-remorques, il mesure 27 mètres de long et 5 de diamètre.
Pour les installer, il faut une coordination parfaite entre les grues les moteurs le treuil le véhicule télécommandé et l’équipe sur le pont des barges transportent les piliers jusqu’aux navires puits les grues les dépose délicatement à bord. Les hommes attache à un harnais et des chaînes pour soulever les piliers. C’est une manœuvre difficile et dangereuse, il faut utiliser la plus grande chaîne à bord et la vérifier minutieusement la moindre faille pourrait conduire à la catastrophe. Il regarde s’il n’y a pas de fissures microscopiques à la surface de cette chaîne, elle pourrait s’agrandir sur le poids des piliers pendant l’opération si jamais ça arrive et la chaîne pourrait se briser et ce serait un vrai désastre.
Les deux grue soulève le pilier et le retourne. L’opération se déroule sans problème et le pilier se retrouve à côté du navire sur le pont les hommes contrôlent chaque mouvement si le bol d’or n’est pas à niveau ou s’il se met à tanguer les normes pilier risque de s’écraser sur le pont ou de faire un trou dans le navire. Avec une telle charge d’un seul côté, on s’imagine que le bateau que basculer mais sur le pont en contrôler les ballasts de la coque pour faire contrepoids. Le pilier s’enfonce dans l’eau.
Puis après un grand geder, il entame un trajet de quatre heures qui va le faire descendre à près de 3000 mètres de profondeur l’énorme pilier doit être placée entre une série de bouées au fond de l’océan est installé dans le bon angle le vent est favorable mais le courant lui pose problème et le bol d’or a bien du mal à se maintenir en place. Si le pilier n’est pas installer convenablement, il pourrait céder à l’énorme pression du câble de quatre km de long. Le pilier suspendu à quelques centimètres seulement du fond de l’océan les hommes doivent accomplir un véritable tour de force, c’est comme si du haut d’un gratte ciel, on essayé de planter un clou attaché au bout d’une ficelle à un endroit précis du trottoir. Les véhicules télécommandés sont les yeux des ingénieurs, ils leur permettent d’approcher le pilier massif de son emplacement prévu.
Il faut faire vite pour que les piliers soit prêt avant l’arrivée de la plateforme. Le bolzer s’approche de l’emplacement prévu, il est prêt à installer l’un des douze piliers qui fixeront la plateforme au centre du gisement de gaz. C’est parti le pilier de 200 tonnes s’enfonce dans l’eau. Est-ce que, je peux avoir un gros plan.
Sous l’effet de son toit le pilier s’enfonce de 13 m. Il est en place mais est, il bien alignées l’orientation excellente sans doute la meilleure qu’on ait obtenu jusqu’ici, c’est très bien le véhicule télécommandé passe à l’étape suivante, il ferme les valves situé à l’extrémité du pilier puis installent une puissante pompe qui aspire l’eau à l’intérieur du pilier et celui ci s’enfonce un peu plus dans le sol. Mission accomplie mais sur le navire les hommes n’ont pas le temps de se réjouir, ils vont travailler 24 heures sur 24 pour installer les trois autres piliers avant l’arrivée de la plateforme. Le projet est presque achevée les 15 puis les 354 km de pipelines les 193 km de câbles de commande et les douze piliers sont quasiment prêts pour l’arrivée de la plateforme au Texas, c’est le compte à rebours avant la grande manœuvre le dernier défi pour les ingénieurs hisser la plateforme de quelque 9000 tonnes sur les quatre tours de sa coque de flottaison cette tâche sera accompli par l’un des plus grands appareils de levage au monde mais, il ne s’est encore jamais attaqué à une charge aussi importante.
Dans la cabine de contrôle les ingénieurs dirige sans cesse les mouvements de la grue en vue de la grande manœuvre. Les gigantesques flèche mesure 150 mètres de long 37 km de câbles court le long des moteurs et des treuils capteurs et câbles installés sur les flèches transmettent continuellement des données aux ingénieurs sur la plate forme et sur la barge, on effectue les dernières vérifications puis tout le monde se met à l’abri hormis quelques hommes un câble rompu pourrait envoyer la gigantesque plateforme par le fond les moteurs de la grue commence à tourner les câbles supporte les normes charge. Puis un bruit attire l’attention de chacun. Le câble d’un portique de levage s’est ajusté sur la pression l’opération se poursuit les câbles se tendent au moment où la grue supporter tout le poids de la plateforme.
Puis soudain un côté de la structure est dégagée dans la salle de contrôle, on vérifie de nouveau chaque capteur. Les moteurs et les treuils tourner et la plateforme de près de 9000 tonnes et suspendus dans l’air. Rêver mais le plus dur est à venir installer cette structure massive aux quatre points de sa coque de flottaison tout d’abord, il faut lever un peu plus la plateforme pour faire de la place à la coque. Puis quatre remorqueurs manoeuvre de concert pour tourner la coque et la mettre en place en haut de la coque une tige permettra d’établir un contact parfait la coque doit être parfaitement positionné pour que la tige entre dans un orifice de 60 cm de diamètre à présent le chef d’équipe doit enfiler cette tige est assemblée la plate forme avec la cause ces gros câbles métalliques relie la coque à la terre ferme, ils contrôleront sa position sous la plateforme les chefs des kits communique en permanence avec ces hommes postés sur les tours de la coque.
Il dirige la plate forme massive pour la b c avec une tolérance de 7 à 8 cm tout doit être parfait or l’alignement ne convient pas, on est à un poil près s’il continue la tige heurtera à un côté de l’orifice et la plateforme n’aura pas les points de jonction qu’il lui faut le chef d’équipe demande d’ajuster les câbles. Comme la honda. La plateforme sa baisse un peu plus. Un côté entrent en contact le long terme mais, il ya un problème les trois autres angles ne correspondent pas en fait, il faut modifier la position de la flèche nord dans la cabine de contrôle les ingénieurs abaisse une des flèches de quelques centimètres.
La plateforme s’enfonce un peu plus les autres angles de la structure sont parfaitement alignés sur les tours de la coque maintenant, c’est impeccable, ils ont réussi la plateforme centrale est achevée. C’est un moment crucial pour ce projet de forage en mer particulièrement ambitieux. La plateforme va être acheminé dans le golfe est relié au vaste réseau de puits de tubes et de câbles, c’est la pièce maîtresse du réseau de gaz naturel le plus profond au mans.