Le monde des insectes
En été la nature vibrer bourdonne, elles fourmillent d’une multitude d’insectes. Abeilles papillons et perce-oreilles s’en donnent à cœur joie. Mais l’arrivée de la saison froide met un terme à leurs activités. Certains animaux migrent alors vers le sud où se préparer à hiberner d’autres devront gratter la neige pour pouvoir se nourrir mais où sont passés les insectes.
L’été est le point culminant de l’année. Les prêts sont couverts de fleurs. Il abrite toutes sortes d’insectes qui butinent le pollen par la même occasion, il féconde les plantes et contribuer à leur expansion. La fin de l’été est la période de maturité la saison des récoltes.
Les arbres sont chargés de fruits appétissant. Les vergers abrite toutes sortes d’insectes. La nourriture est abondante, c’est un véritable pays de cocagne les fruits tombés à terre attire entre autres les frelons ces prédateurs carnivores ne dédaigne pas la chair des pommes. La colonie de frelons niche en hauteur dans le creux d’un pommier.
Quand, il fait chaud une sentinelle bat des ailes pour aérer l’intérieur du nid. Le nid est installé à l’intérieur du tronc une véritable citadelle fait de papier mâché. Des ouvrières l’agrandissent constamment avec une pâte à base de bois mastiquer imprégné de salive. Elle s’occupe aussi de nourrir les larves.
Elle assiste la reine sensiblement plus grosse chargé de pondre les eaux. Un parasol. À la fin de la saison estivale le nid abrite jusqu’à 700 ouvrière, c’est l’effectif maximum que peut atteindre une colonie de frelons inclus. Tout près de là sont installé des ruches qui abrite des essaims d’abeilles.
Les ouvrières qui rentre au nid ramène du nectar et du pollen. N’est pas de charge et de pelote jaune de pollen, elles sont les bienvenus. Il n’en va pas de même pour d’autres membres de la colonie l’entrée de la ruche est le théâtre d’une scène cruel qui préfigure l’arrivée de l’hiver l’expulsion des faux bourdon. Les abeilles mal ou faux bourdon se voit désormais refuser l’accès à la ruche, ils ont fini de remplir leur fonction naturelle qui est de féconder les rênes les mâles qui était nourri tant qu’ils avaient un rôle à jouer sont devenus des bouches inutiles.
Ils sont condamnés à mourir de faim au pied de la roche. Pendant ce temps les ouvrières continue à collecter du nectar et de pollen pour constituer des réserves pour l’hiver le pollen riche en protéines est entreposé dans des alvéoles spéciale le nectar est stocké à part, il servira à fabriquer le miel. Soixante mille abeilles peuvent cohabiter dans un essaim autour d’une reine qui peut vivre jusqu’à cinq ans. En été une ouvrière meurt au bout de six semaines celle que, nous voyons ici s’occupe d’une larve qui aura une longévité bien supérieur car, elle deviendra une abeille divers capable de vivre plus de six mois.
À la fin de l’été les soirées sont encore douce mais les nuits commence déjà à se rafraîchir le matin les prêts et les étangs 100 couverts de brume. De la rose et se déposent sur les feuilles et les fleurs. Mais aussi sur les ailes des libellules. Comme tous les insectes ce sont des animaux à sang froid.
La température de leur corps varie en fonction de leur environnement. À cette heure les libellules sont encore engourdies par la fraîcheur de la nuit. Elle doit faire le plein de soleil avant d’aborder la journée. La plupart des espèces de libellules ne vise qu’un été, elle meurt dès qu’arrive la saison froide leurs larves en revanche survivent dans l’eau parfois plusieurs hivers de suite.
On distingue déjà les ailes en formation. Les larves de libellules respIrant contractant leur abdomen pour faire circuler l’eau à travers leurs branchies. D’autres insectes remonte régulièrement à la surface pour s’alimenter en oxygène le dit Yves bordés doit faire provision d’air sous ses ailes avant de plonger ces coléoptères passe pratiquement leur vie dans l’eau, elles durent souvent plusieurs années, c’est habile chasseurs restent à l’affût pour guetter leurs proies des petits poissons comme ses tablettes. En forêt aussi la fin de l’été et le temps de la plénitude les champignons pointent leur chapeau afin de pouvoir répandre des sports et assurer l’expansion de l’espèce.
Il passe le reste de l’année dans la terre sous forme de mycélium un réseau de filaments semblables à des racines. Dans les profondeurs du sol, on trouve également d’étranges créatures ce sont les larves d’insectes imposant à ce stade, elles n’ont rien de commun avec la forme future que prendre un animal. Ces larves ont passé plusieurs années à dévorer du bois mort avec un appétit féroce. L’heure est venue de se transformer.
Et d’accéder au stade suivant celui de la nymphe quel animal surgira plus tard de 7,9 la taille des mandibules, nous donne un indice, il s’agit de l’uqam cerf-volant. À mesure que l’automne approche les feuilles change de couleur les glandes mûrissent les jets les ramasse et les caches pour se constituer des réserves. Le loir gris lui se ruent sur les graines devait être riche en lipides en prévision de l’hibernation. Les températures se rafraîchissent et l’air chargé d’humidité se condense en formant des nappes de brouillard mouvante.
Dans les prés les colchiques déploient leurs corolles. Les journées froides et humides se succèdent. Mais les frelons sont encore actifs. Ils rétrécissent l’entrée du nid pour garder la chaleur.
Mais de toute façon la colonie est voué à disparaître car les frelons se nourrissent tout l’été de protéines animales et ne font pas de réserve comme les abeilles à l’intérieur du nid les ouvrières qui s’activent sont déjà moins nombreuses. Certaines se livrent d’ailleurs à une étrange occupation, elle tire des larves vivante or des alvéoles et les expulse du nid g. Elles s’entassent morte au pied de l’arbre les ouvrières ont éliminé des bouches inutiles à nourrir. Pour l’heure la colonie de frelons n’a pas besoin de nouvelles ouvrière.
La reine, elle même est devenue inutile. Épuisée, elle a abandonné le nid et s’est laissée mourir. Seuls quelques larves reçoivent encore de la nourriture ce sont, elles qui donneront naissance oren qui fonderont de nouveau ni au printemps prochain si, elle arrive à passer l’hiver. Les coccinelles aussi prennent leurs dispositions à la proche de la saison froide.
Elles recherchent un endroit protégé un creux entre des rochers ou la fissure d’un mur, elles entreront bientôt dans une sorte de léthargie leur sang contient un véritable antigel naturel qui leur permet de supporter une température de moins 10 degrés. Sur les meilleurs sites d’hibernation, elles se rassemblent souvent par centaines. Celles qui sont installées pour des crevasses suffisamment profondes seront à l’abri d’une mauvaise surprise à l’occasion d’un road movie vernal certaines se réveille mais ne trouve alors aucune nourriture au printemps prochain, elles commenceront par s’accoupler. Mais pour l’heure l’automne s’installe les grues et bien d’autres oiseaux entament leur migration vers le sud où la nourriture est plus abondante.
Une dernière plantes entre en floraison, c’est le lierre. Il attire une foule de papillons d’abeilles de guêpe et de sirf, il règne autour de la plante une activité frénétique comme dans la prairie en été. Le vulcain fait le plein d’énergie car, il se prépare à faire un long voyage. Tout comme les oiseaux migrateurs, il part vers le sud.
Ces papillons migrateurs quitte l’Europe centrale et parcourt plus de 1000 km. Pour cela, il survole les alpes et franchise d’écoles situées à plus de 2500 mètres d’altitude. Ils iront passer l’hiver dans des régions plus clémentes au sud de l’Europe et il s’y reproduire. Les marmottes, elle se réfugie au fond de leurs terriers dans des chambres tapissé d’herbes sèches où, elles passeront plusieurs mois dans un profond sommeil.
Au nord des alpes l’automne réserve encore de belles journées mais les vignobles se teintent de couleurs éclatantes. Le raisin arrive à maturité. Et ces grappes attire les derniers frelon de la colonie le juin peut fermenter procure une dernière ivresse à ces ouvrières qui vont bientôt mourir. Seuls les jeunes reines qui viennent de se transformer ou d’une chance de passer l’hiver, elle se met à l’abri dans un endroit protégé ou sans terre dans le sol d’autres insectes les y ont précédé ces oeufs enterré dans une cavité souterraine ressemble à de minuscules raisin.
E, c’est le terrier d’une femelle perce-oreilles un mille-pattes osent s’aventurer dans le trou. La mère perce-oreilles montre ses pinces pour chasser l’intrus. Une femelle peut pondre jusqu’à 70 e gros comme des têtes d’épinglés, elle passe son temps à nettoyer tout l’hiver, elle prendra soin d eux puis des larves ce qui est un comportement très inhabituel chez les insectes dans les forêts les feuilles des arbres se sont parés des tons bruns et or de l’automne. Le brame des cerfs résonne dans les clairières.
Sous un épais manteau de feuilles enfouis dans la terre d’un lucane cerf-volant à émerger de la nymphe et accéder à l’état adulte afin d’économiser son énergie, il reste couchée sur le dos sans bouger à quelques 30 cm de profondeur. Il restera tout l’hiver dans le sol à l’abri du gel. Car dehors le froid se fait plus mordant. Le loire s’est lui aussi replié dans son terrier où, il dort rouler en boule pour économiser son énergie et garder sa chaleur.
Lorsqu’il gèle la brume se cristallisant givre. La plupart des insectes ont disparu. Mais pour certains les premières gelées annonce l’heure du réveil. Dès que la température descend en dessous de zéro liberty des feuillants, tu sort de sa cachette les papillons mâles long de 2 cm commence tout d’abord par volonté autour des arbres ensuite les femelles grimpent le long des trous physiquement, elles n’ont rien de commun avec le mal leurs ailes atrophiées ne leur permettent pas de voler.
Elle sécrète alors une substance odorante la phéromone destinée à attirer les balles les deux partenaires s’accouplent dans le froid. Peu de temps après les faux mails dépose des oeufs dans des fissures des corses mâles et femelles meurt après leur union avant même de s’être alimenter, il n’opère leur dernière mu que pour féconder et pondre des oeufs. Quand la neige tombe, elle forme une couche qui isole le sol de la froidure extérieur, il fait en général un peu plus chaud dans la terre. Une minuscule araignée vient de faire irruption dans le terrier du père soleil.
Elle est à peine plus grosses que, c’est eux. La femelle perce-oreilles ne relâche jamais sa vigilance, elle poursuit ses activités de nettoyage tout en tâchant d’éloigner l’intruse. Mais l’araignée s’obstine à rester près d eux. La mère se décide à lancer l’assaut là que le vt20 scorpions.
L’araignée s’est mise en danger de mort. Elle part finalement sans demander son reste les zones en subi aucun dommage. Les paysages d’hiver semble très paisible. Pour pallier le froid et supporter cette période difficile de nombreux mammifères sont couvert d’un épais plage.
Ils doivent gratter le sol pour trouver de la nourriture en hiver, ils ont besoin de davantage d’énergie. Le froid se fait de plus en plus vif. Et même les ruisseaux commencé à geler. Les animaux qui vivent dans l’eau sont protégés car la glace forme une couche isolante au fond de la rivière le thermomètre affiche encore 4 degrés les larves de libellules se sont mis à l’abri, elle ne mangeront pas durant tout l’hiver car à basse température leur métabolisme fonctionne au ralenti le d’éthique bordés a besoin de moins d’oxygène quand la surface de l’eau est gelé, il se contente de la provision d’air qui n’a stockées sous ses ailes.
En général, ils passent l’hiver posée sur le fond sans bouger. Quelque part sous la neige qui recouvre le verger enfouis dans la terre les futures reines frelons hibernent, elle seule survivre à l’hiver pour fonder de nouveaux essaims. Tout près de là à l’intérieur de la ruche, on entend vrombir les seins plus, il fait froid plus, elles se font bruyante. Au centre des cAsiers de cire les abeilles se sont rassemblés pour former une grappe en dépit du froid extérieur, elles parviennent à y maintenir une température supérieure à 20 degrés.
La population de la ruche a diminué de moitié mais, elle compte encore quelques vingt mille membres. Régulièrement les abeilles font vibrer leur zèle pour contracter leurs muscles et dégager de la chaleur. Mais, c’est à l’intérieur de la grappe qui fait le plus chaud, c’est pourquoi les abeilles opère une rotation régulière. Elles sont capables de maintenir cette activité grâce au miel qu’elles ont stocké dans les alvéoles durant tout l’été.
Les abeilles le distribuer en se donnant la becquée grâce à ce travail d’équipé la colonie entière survie à la saison froide y compris la plus importante de toutes la reine. Puis enfin le gel des serres sont des taux la neige commence à fondre. Et les ruisseaux se remplissent d’eau de fonte les premiers signes du changement de saison apparaissent. Sous la terre aussi, il se passe des choses des points bruns sont apparus sur les eaux du père saurait y ait quelque chose palpite à l’intérieur.
L’enveloppent éclate et un jeune sort de l’oeuf avec difficulté. Les points brin correspondent aux yeux de la larve qui subira encore plusieurs mu mais ressemble déjà beaucoup à l’insecte adulte. À ce stade les petits sont complètement translucide ce n’est qu’au fil des métamorphoses qui prendront la même couleur que leur mère. Leur carapace se pigmente rapidement.
Cette fois les derniers se ferait bien d’éclore. Non les larves ne joue pas au ballon. Elle cherche à percer l’enveloppé extérieure de 7,9. Elle se rue sur leurs frères et soeurs qui ont trop tardé à m.
C’est la fin qui les poussent à agir ainsi. Cette fois les arbres du verger sont en pleine floraison. Ils fournissent de la nourriture aux premières abeilles qui sont sortis pour approvisionner la ruche. Alors retour un triste spectacle les attend.
L’entrée de la ruche ressemble un champ de bataille des centaines d’abeilles mortes s’entassent pêle mêle. Ce sont les occupantes qui n’ont pas survécu à l’hiver, il s’agit maintenant de les évacuer. Cette opération s’apparente à un grand nettoyage de printemps. À l’intérieur les saints s’activent en prévision de l’été marraine est déjà à pied d’oeuvre.
Sa fonction consiste à pondre des oeufs jusqu’à 2000 par jour et jusqu’à 200 milles par an. Chacun est déposé dans une alvéole différentes. Ce sont les ouvrières qui les prennent en charge jusqu’à ce que la larve parvient au stade adulte. Elle commence déjà à sortir une nouvelle abeilles de printemps émerge de son alvéole.
Elle doit, elle même déchirée loupé recul de cire. Ces premières semaines, elle et passera à l’intérieur de la ruche au service de la reine plus tard, elle ira à son tour butiner pour collecter du nectar. Dehors l’hiver semble tout à coup revenus et les abeilles, on sait, c’est de sortir est ce un simple caprice de la météo ou un signe qui préfigure le changement climatique à l’avenir en tout cas le rythme des saisons se fera de plus en plus capricieux ce qui pourrait gravement perturbé le cycle complexe de nombreux insectes. Dans son terrier la femelle perce-oreilles se consacre toujours à sa progéniture si tout se passe bien, elle pourra pondre une deuxième fois pendant l’été mais, elle a présumé de ses forces, elle meurt d’épuisement avant même l’arrivée du printemps.
Sans attendre les jeunes se jettent sur leurs mères jour de leurs pinces pourfendre la carapace, il la dévore sur le champ. Le retour du froid et de courte durée. Les jours rallongent. Chez les oiseaux la saison des amours commencent les oeufs ne tarde pas à éclore.
Au printemps la nature se réveille. Lors de l’accouplement des grenouilles, il arrive souvent que plusieurs mâles s’accroche à une même femelle la ponte des amphibiens format collier gélatineux qui peut atteindre deux mètres les eaux donneront naissance à des têtards les futures proies des insectes aquatiques qui sortent de la léthargie hivernale tel le dit Yves bordés maintenant que l’on s’est réchauffé, il recommence à chasser. Les larves de libellules aussi se sont remises à l’affût. Lorsqu, elle déplie la partie inférieure de sa mâchoire.
Le têtard n’a aucune chance de lui échapper l’éditique bordés se sont déjà reproduit l’éclosion des oeufs a donné naissance à des larves capable de nager. Leur bouche armé de mandibules à céret sera fatale un grand nombre de têtards. Dans quelques mois ses larves vorace se seront métamorphosé en coléoptères. Cette fois l’air se fait plus doux au bord de l’étang les larves de libellules sont sortis de l’eau pour grimper dans les roseaux, elle déchire déjà l’enveloppent d’imphal pour atteindre le stade adulte.
Elles ne tarderont pas à s’envoler et à s’accoupler. Dans le verger réapparait une jeune reine frelons qui a survécu à l’hiver. Elle s’apprête à fonder une nouvelle colonie au creux d’un arbre. Pour cela, elle doit construire le dit récolter de la nourriture pondre des oeufs et nourrir les premières larmes une activité à plein temps pour cette jeune mère célibataire.
Un véritable tour de force. Quatorze jours après avoir pondu le premier ruff, elle reçoit enfin de l’aide en rentrant domi, elle découvre qu’une première ouvrière est sorti de son alvéole et commence à s’occuper des larves pendant deux ou trois jours, elle ne sort pas du nid. Elle assiste sa mère dans les tâches domestiques. La reine se charge encore seul d’approvisionner sa progéniture.
Mais cette fois, elles sont deux à nourrir les larves. Quelques jours plus tard une nouvelle ouvrière apparaît mais les larves sont de plus en plus nombreuses à réclamer des soins bientôt les ouvrières quitte à leur tour le lit. Elle se pose sur les arbres pour en déguster la sève, c’est leur premier repas. La forêt aussi est en pleine régénération les chaînes sont désormais couverts de feuilles.
Les chenilles de liberty sont également sortis de l’oeuf, elles sont insatiables et dévore un nombre considérable de feuilles avant de former une chrysalide. Dans la forêt la salamandre tachetée a passé l’hiver à l’abri du gel dans des crevasses ou des grottes. Le loir grille est lui aussi sortis d’hibernation. D’autres insectes opèrent leurs derniers remous tel le lucane cerf-volant qui sort de terre en proie à une excitation toute printanière.
Car, il a capté les stimuli olfactifs sécrétée par les femelles mais, il n’est pas le seul dès que deux mâles se rend compte, c’est l’affrontement. Les mandibules du cerf-volant ressemblent à des bois de cerfs d’où son nom d’ailleurs, ils s’en servent comme d’une arme lorsqu’ils combattent. L’objectif est de renverser son rival sur le dos ou de le faire tomber de l’arbre. Lors de ces combats les mâles déploie une énergie prodigieuse qui leur permet de soulever jusqu’à cent fois leur poids, il arrive aussi qu’un des deux rivaux reçoivent une blessure mortelle.
Celui-ci survivra à sa chute le vainqueur lui passe immédiatement à l’action. 2 l’accouplement s’achève brutalement la femelle ne tardera guère à aller déposer ses yeux entre les racines d’un arbre bord. Dans le verger le nid de frelons continue à se développer. Les ouvrières s’active maintenant par dizaines et pas seulement pour approvisionner la colonie en nourriture, elles partent aussi chercher du bois mort qu’elle déchire avec leurs pinces à céret le malaxe élan robe de salive pour fabriquer le matériau qui leur sert à construire le nouveau demi.
Certains nids peuvent atteindre 50 centimètres de haut, elle ne cesse d’ajouter de nouveaux étages. La reine peut désormais se consacrer à sa tâche principale pondre un oeuf au fond de chaque alvéole. La communauté des ouvrières l’alimentent et veille à ce qu’elle puisse assurer sa fonction. La nouvelle colonie pourra ainsi croître sans problème.
Une colonie qui ne vivra cardete. Sur la prairie l’herbe a reverdi et les plantes sont à nouveau en fleurs les perce-oreilles ont quitté depuis longtemps le terrier et sont maintenant à la recherche de nourriture. Les coccinelles se promènent. Des oeuvres à la survie de l’espèce.
Les vulcains sont également de retour en réalité ce ne sont pas ceux qui ont migré à l’automne, ils appartiennent à la génération suivante sortie de chrysalide en Europe du sud est revenu ici pour la saison chaude. La nature vibre et bourdes hommes de toutes parts, elle fourmille d’insectes, c’est l’été. Et toute cette agitation durera jusqu’à l’hiver prochain.