Les 5 animaux les plus dangereux d’Amérique du Sud
Les animaux les plus dangereux et les plus puissants d’Afrique ont été désignés par les chasseurs sous le nom de big five les cinq grands. En Amérique du sud cinq espèces sont emblématiques de la faune sauvage. Nous avons sillonné ce vaste continent à la recherche de ces animaux hors du commun. Des guides expérimentés, nous hante amener jusqu’à pour mieux, vous les faire découvrir.
Les cinq grands animaux d’Amérique du sud le jaguar. Le tamanoir la loutre géante, l’ours à lunettes et l’anaconda. À l’époque où les safaris était synonyme de chasse pour quelques privilégiés, il fallait plusieurs semaines pour rallier l’Amérique du sud depuis l’Europe désormais cela prend à peine une journée en avion notre voyage, nous emmène dans le nord du continent vers un animal aux dimensions colossales et à la force herculéenne. La Guyane est connu pour ses eaux abondantes, c’est dans les rivières que ville imposante anaconda.
Vénéré et craint ni dieux ni démons, il règne en maître sur ce paradis aquatique, c’est ici qu’il entraîne tous ceux qui ont le malheur de céder à son emprise. L’eau est l’élément essentiel de son habitat. L’anaconda apprécié les environnements humides au même titre que le tapir et ses 300 kg. Et le caïman noir qui mesurent jusqu’à sept mètres de long.
Pour les capybaras partager le territoire des anacondas n’est pas de tout repos. Lutz diack scène et biologiste, il est fasciné par les serpents constructeur même s’ils ne sont pas venimeux cela ne les empêche pas de mordre le doigts arc en ciel lui vit dans la forêt au milieu des feuilles des broussailles. Dès 4 heures du matin, nous avons commencé à charger les trois bateaux avant de, nous mettre en route à la recherche d’une grand à la con d’art. Notre équipe se compose de luxe dirksen de neuf accompagnateurs et de trois cameramen.
Même en pleine saison sèche le niveau de l’eau est toujours très élevé, c’est de plus en plus souvent le cas ces dernières années pas un seul banc de sable isolée où les animaux pourraient prendre le soleil apercevoir des anacondas s’annonce difficile. Legrand anaconda aussi appelé anaconda vers vial est des andes près des grands systèmes hydrologiques, on connaît bien la vie de ces serpents dans les zones marécageuses du Venezuela les llanos. Là bas les anacondas mesure rare manque de quatre mètres et demi de long leurs proies préférées ce sont les capybaras les plus grand rongeur au monde dont les dimensions peuvent atteindre celle d’un chien berger. Pendant la saison sèche la savane se transforme les lacs de vienne de vastes champs de boue durci.
Difficile pour un anaconda de plus de 4 mètres de trouver un point d’humidité qui lui permettra de supporter la chaleur les petits spécimens ont moins de mal à survivre. Début avril la saison sèche touche à sa fin et les premières gouttes d’eau se transforme vite en plus torrentielles en à peine quelques jours les étendues à sécher se gorge d’eau. L’anaconda retrouve enfin son élément de prédilection. De toutes parts la savane verdi erronée à la vie.
Les anacondas qui vivent au bord du fleuve sont différents de leurs congénères de la savane, ils peuvent mesurer jusqu’à 9 mètres de long contrairement à leurs congénères vénézuélien, on sait très peu de choses sur leur mode de vie notre première journée de voyage touche à sa fin a ri mois le dernier village qui bordent la rivière un monde sauvage, nous attend ensuite. À la lueur du feu de camp un vieux chasseur, nous raconte la légende du matap y cet ustensile permet aux femmes d’ extraire le jus toxiques du manioc l’idée, on est venu un chasseur alors qu’il observait un anaconda en train de se nourrir, il a conçu une clé fait de lianes qui limite les mouvements de contraction du serpent en train d’avaler sa proie. Fascinant tout autant que le ciel qui brille de mille étoiles au dessus de nos têtes. Legrand anaconda appartient à la famille des boys die, ils tuent en enroulant étroitement son corps musculeux autour de ses victimes jusqu’à ce qu’elles meurent étouffées.
Ses dents sont orientés vers l’arrière ce qui lui permet de la maintenir sans toutefois la découpe et il n’a donc pas d’autre choix que de l’engloutir en une seule fois. Sa mâchoire et son corps sont capables d’une extraordinaire dilatation comme, il ne peut déglutir, il détend pu contracter ses muscles grâce aux mouvements ondulatoires de ses anneaux, il fait progresser sa proie toujours plus profondément dans son usage. Un groupe de bec en ciseau prend son envol dans la lumière du petit matin. Les bateaux sont chargés un rapide petit déjeuner puis, il faut repartir.
Encore trois longues journées de bateaux, nous attendent. Notre objectif un territoire inexploré situées en amont de la rivière, il y a deux ans des chasseurs ayant observé des anacondas de plus de 6 mètres de long lui de se dire qu scène à l’intention de remonter cette piste, il souhaite également réalisé la cartographie des espèces que l’on peut rencontrer dans la région. Plus, nous progressons et plus la nature ne semble vierge. Avec un tel niveau d’eau les caïmans noir ont bien du mal à trouver un endroit où se prélassent et les plus gros spécimens eux ont trouvé leur place au soleil.
Le caïman noir est le plus gros prédateur du continent ses mensurations 7 mètres de long pour 100 kg des écailles viennent agrémenter sa tête et son dos. La posture assez de son ventre de sa gorge et particulièrement épaisse et dur. Sa mâchoire supérieure est typique de son espèce tout le temps qu’ils tombent repousse invariablement les petits points qui orne son museau sont autant de récepteurs ultra sensible qui lui permettent de localiser ses proies au fil de l’évolution les crocodiliens dont font partie des caïmans ont su imposer leur domination. Après plusieurs heures de trajet une pause est la bienvenue.
C’est lutz dirks n 1 qui tient le journal de l’expédition ces observations précises sur les espèces rencontrées lui seront plus tard d’une grande utilité. Notre campement sur la rive à éveiller l’intérêt des caïmans prudemment mais non sans une certaine curiosité, ils viennent y voir de plus près. Une mesure d’intimidation s’impose dans l’eau le caméraman se fait tout petit la bête est encore loin comment la tirer sur un banc de sable pour mieux l’observer. La prudence est de mise le caïman commence par suivre le comportement des vautours une fois sûr qu’aucun danger ne menace, il vient récupérer les restes de repas que, nous avons disposé en guise d’appât.
Le voyage reprend à bord de notre bateau. Dans ce virage la rivière a creusé une profonde entaille dans la berge écoule désormais tout droit. Des vestiges de l’ancienne berges se dressent encore au milieu du courant qui se renforcent les moteurs des bateaux sont soumis à rude épreuve les limites des rivières sauvages varient souvent formant de multiples bras morts et des étangs. L’après midi suivant, nous croisons une famille d’otaries géante les indiens les attire grâce à un cri bien particulier.
Nous touchons enfin au but, il ne peut s’agir que de l’endroit dans les chasseurs ont parlé, c’est ici que, nous allons, nous établir pour partir à la recherche des grands anaconda, nous remontons notre équipement aussi loin que possible de la rivière par temps de pluie les ou peuvent remonter très vite. Sous les cris de protestation des singes hurleurs, nous installons quatre bâches imperméables. Une bâche pour la cuisine. Une pour l’équipement de tournage et deux pour, nous à mac, nous savons que les serpents et les scorpions aime se glisser dans les poches et les bottes des hommes.
Du poisson frais vient compléter nos rations de riz de pâtes et de haricots. Nous sommes en route depuis maintenant plusieurs heures en raison des fortes précipitations les eaux sont encore très haute propre point que les branches gêne notre progression les animaux n’ont pas besoin de venir à la rivière pour trouver de l’eau durant la saison des pluies les anacondas suguenot jusque dans la forêt, ils passent toute leur vie dans les marécages. Même leur venue au monde a lieu en milieu aquatique dans le corps de leur mère les embryons grandissent à l’intérieur des oeufs lorsque ceux ci sont prêts à éclore les jeunes s’extirpe de la coquille avant d’être sorti du ventre de la mère, ils naissent ensuite sous forme de petits serpents parfaitement développée, ils sont tout de suite dans leur élément le nombre de jeunes dépend du gabarit de la mer chez une grande femelle une portée peut compter plus de 80 serpentant. M oui.
Selon les légendes indiennes les petits des bords auraient à leur mère. Un certain nombre de serpents tôt s’éloigne quelques minutes à peine après leur naissance ce sont déjà des prédateurs à part entière avec un redoutable instinct de chasseur. Pour son bain de soleil cet iguane a choisi une souche d’arbre. Le tente, on notre chance dans un petit cours d’eau.
Aux aguets notre capitaine a repéré un mouvement et attrape le responsable un jeune à la con d’art, il fait près d’un mètre de long et est âgé de seulement quelques semaines sa première lui laurent quelque peu apathique. De retour à bord du bateau le soleil se fait brûlant la saison sèche semble enfin arrivée, il faudra toutefois attendre plusieurs jours pour que le niveau des eaux baissent. Pour se frayer un chemin sans machette, il faut suivre les pistes régulièrement empruntés par les animaux. Voici un boa constrictor, nous sommes trop grand pour lui servir de proies mais cela n’empêche pas d’essayer de nos activités.
L’udps se dire que scène connaît bien le comportement des serpents d’une main experte, il attrape doucement mais fermement l’animal derrière la tête le boa constrictor est un cousin terrestre de l’anaconda celui ci mesure près de 3 m, il s’agit clairement d’une femelle encore un jeune anaconda lorsqu’ils sont âgées d’à peine quelques jours, ils se montrent particulièrement agressifs. De retour au camp les ducks l1 complètent son journal. Ces quatre dernières années la Guyane n’a pas connu de saison sèche normal le manioc a même pourri sur pied à l’origine de cela les phénomènes météorologiques tels que la ligne 1 et le réchauffement climatique. Des pluies torrentielles viennent grossir les cours d’eau en quelques heures à peine le niveau peut monter de plusieurs mètres.
Il est fort à qui borde les rivières ont l’habitude de ces caprices saisonniers. Les caïmans suivent tout aussi l’eau dans la forêt. Même le tapir trouvent de la nourriture sous l’eau en plus des fruits et des feuilles, il est friand de plantes aquatiques, il faut dire que dans l’ombre des sous bois ce gros enculé peine à trouver de quoi se nourrir correctement. D’autres en revanche tentent d’éviter l’eau.
Au beau milieu de la nuit le niveau d’eau a encore subitement monté de plus de 3 m. Nous sommes parvenus à mettre en lieu sûr la plupart de nos provisions et surtout nos bateaux, il faut dresser maintenant le bilan des dommages. Tout est humide voire trempé même notre matériel de tournage doit être séchées. Continuez, vous faire demi tour telle est la question si, nous voulons rester, il nous faut un campement en amont des cascades à condition de venir à bout de celle ci.
Alain py des cataractes sont fréquents en Guyane, il fantin habitats aquatiques à part. Les vautours sa tribu les victimes de noyade. Dans les zones plus paisible les airs, on se régale d’escargots et de petits poissons. Les loutres géantes, elle aime chasser dans les remous poissonnet.
C’est là également que l’oiseau serpent vient pêcher de petits silure, nous sommes sur le territoire du jacquard à la seule espèce de caïman qui évoluent dans ces eaux torrentielles, il est nettement plus petit que le cayman noir après en avoir débattu la décision est enfin prise l’équipe va se séparer un bateau va prendre le chemin du retour l’équipe de tournage accompagné de 6 des guides va relever le défi et continuer la route vers l’amont impossible de savoir ce qui, nous attend que de gens se sont déjà aventuré au delà de ses cascades pour y parvenir, il nous faut des troncs d’arbres, ils vont, nous servir à faire avancer les bateaux tout en protégeant leurs coques chacun d’entre eux pèsent près de 300 kg. Lille se dire excellent repère un cousin de l’anaconda, il s’agit d’un cours à lui sorti l’anus qui vit dans les arbres. Ce boa de couleur verte est connu pour son agressivité mais fort heureusement, il n’est pas venimeux lorsqu’ils attaquent, ils se cramponnent à sa proie. Au niveau de sa lèvre supérieure, on distingue ses fossettes sensorielles, il s’agit de détecteurs de chaleur qu’il est à repérer ces victimes même de nuit.
L’anaconda aussi s’oriente grâce à la chaleur corporelle dégagés par ses proies lors de la chasse. Peut-être distingue-t-il de paca comme à travers une caméra infrarouge. Le plus souvent l’anaconda chasse en restant immobile sous l’eau attendant qu’une proie arrive à sa portée seul son nez ses yeux des passe discrètement de la surface. Avec sa langue fourchue, il détecte la moindre odeur.
Nous progressons bien plus péniblement que, nous l’avions imaginé à la cascade succèdent des rapides puis une nouvelle cataractes puis encore des rapides. Impossible de naviguer, il ya trop de rochers sous l’eau le doute commence à s’installer. Dans le cour supérieure les eaux sont particulièrement impétueuse. Jalonnaient d’îlots et de roches et de nombreux rapide se fraie un chemin à travers la contrée sauvage souvent, ils sont impraticables sur plusieurs km.
Les chats karahan compris que les poissons leur tombe directement dans la gueule pour peu qu’il se place au bon endroit. Au bout d’à peine quelques centaines de mètres une nouvelle cataractes, nous ferment le passage une fois de plus impossible de passer. Nous progressons lentement souvent la voix se refermer, il faut rebrousser chemin pour tenter notre chance dans un nouveau bras. On, il nous aura fallu une journée entière pour parcourir 500 m.
Hélas alors que, nous nous apprêtons à renoncer le fleuve change de visage pour redevenir enfin navigables. Devant, nous la rivière se dédouble un monde intacte, nous attend. Le lendemain un nouveau campement est monté cette fois, nous espérons être à l’abri des eaux non loin de notre campement, nous tombons sur un groupe de capybara l’un d’entre eux arborent sur le flanc une tâche rougeâtre qui ressemble fort à une morsure frêche les rongeurs ne semble pas gêné par notre présence ailleurs, il se montre plus farouches ici, il le redoute que le jaguar et l’anaconda. Et puis au milieu d’un enchevêtrement de branche.
Il est là immobile, il a pourtant perçu notre présence depuis un bon moment. Impossible de l’approcher mais le 10 déc scène, c’est que l’anaconda n’est pas du genre à fuir bien loin, il retente sa chance une prise solide au niveau de la tête une autre à l’endroit le plus large du corps et le serpent, on ne peut plus lui échapper. On va mesurer lutte se dire qu scène fait de la recherche fondamentale, il réunit des informations sur la taille la couleur et la répartition des serpents, il est l’un des plus grands experts de l’anaconda personne n’a jamais examiné d’aussi près ce spécimen aquatique la taille de la tête permet de déterminer l’âge plus la tête est importante comparée au corps et plus le serpent et vieux à présent lutz va déterminer son sexe. Il s’agit d’un mâle.
Après l’avoir mesurée sous tous les angles, nous nous relâchons. Les jours suivants notre quête d’un spécimen de grande taille se poursuit. Les pêcheurs de l’équipe ont découvert un grand anaconda mais celui ci a aussi tour plongé de toute évidence, il est toujours dans les environs. Nous décidons de passer le coin au peigne fin.
Et, nous parvenons à rattraper le fuyard. Ce serpent va à son tour être mesurée. Encore un mâle 3 mètres 32 l’ont les anacondas mal sont bien loin d’atteindre la taille des femelles, il dépasse rarement les trois mètres tandis que les femelles qui vivent dans les rivières peuvent atteindre 9 m. Les mâles trouvent les femelles prête à l’accouplement en suivant les phéromones qu’elles émettent.
Il leur faut parfois suivre la piste sur de nombreux km. Il arrive que plus d’une douzaine d’aumale s’enroule autour d’une même femelle en ondulant, ils tentent de repousser les assauts de leur niveau. La femelle s’accouplent ainsi avec plusieurs mâles. Dans les mythes indiens l’anaconda plusieurs têtes est une divinité récurrentes cet enchevêtrement amoureux, on est peut-être l’origine.
L’accouplement, on peut durer jusqu’à quatre semaines. Les mâles repartent ensuite chacun de leur côté soudain, nous faisons une découverte de taille. Un serpent géant tout près de la rive. Même à 4, nous avons du mal à le maîtriser son corps lesquin unique et gigantesque muscles d’acier flexible.
Il doit avoisiner les 200 kg. Il s’agit d’une femelle sur la berge, nous pouvons la mesurer en toute tranquillité. Un sac sur la tête devraient la calmer un moyen qui a fait ses preuves, nous parvenons à la ramener à terre sans trop de résistance avec sa taille, elle ne connaît plus aucun prédateur naturel. Certains, elle n’est pas venimeuses mais, elle sait se défendre.
Tenez la vendange mesures une telle géante peu infligé de graves blessures une fois refermée sur leurs proies ses mâchoires ne se rouvrent pas facilement solide à s’est réorientée vers l’arrière ses dents sont de véritables crochet, on distingue parfaitement sa trachée située à l’avant de la gueule, elle lui permet de respirer pendant qu’elle avale lentement ses victimes. L’anaconda fait jouer ses muscles difficile de prendre ces mesures. Cette femelle est nettement plus imposante que tous les autres anacondas que, nous avons rencontrés au cours de notre voyage luxe doit s’y reprendre à plusieurs reprises. Quatre mètres 50.
5 mètre soixante dix la bête mesure près de 6 m un sacré morceau. Lutz mesure la circonférence de son corps à l’endroit le plus fort. 63 cm, il s’assure que le dessin de ses écailles correspond bien aux descriptions scientifiques du grand anaconda. C’est pelé proviennent d’un marsupial, il arrive que l’anaconda se blesse pendant qu’il étouffe ses victimes même les capybara les principales proies de l’animal se défendent âprement la chasse est risqué même pour un grand anaconda.
Il faut maintenant relâcher la tête de l’animal la manoeuvre la plus délicate lorsque le serpent, on retrouve sa vision, il vaut mieux être déjà loin. L’anaconda le plus grand serpent du monde est pour, nous un des cinq grands d’Amérique du sud un animal surpuissant inquiétant est à la fois incroyablement paisible. Cette créature à la fois terrestre et aquatique a de quoi fasciner les hommes et leur imposer le respect. Et demain une autre rencontre pleine de magie, nous attend avec le jaguar roi de la jungle amazonienne et dieu pour bien des tribus encore mais pour l’heure, il y à l’actualité vue par arte journal.