Ou sont les extraterrestre dans l’univers ?

La vie est-elle un phénomène extraordinaire survenue uniquement sur notre planète. Y at, il de la vie ailleurs que sur terre. Depuis très longtemps l’humanité se pose cette question qui reste à ce jour sans réponse. Mais grâce aux avancées extraordinaires accompli en astronomie ces dernières années ce mystère est sur le point d’être élu cité.
Des sondes spatiales à la pointe de la technologie explore les planètes et les satellites de notre système solaire tandis que des télescopes toujours plus sophistiqués scrute le cosmos en quête de réponses les résultats de ces recherches sont renversants la plus grande avancée fait en astronomie depuis 20 ans et d’avoir découvert que la plupart des étoiles sont entourés de planète, il y en a à profusion plus que des toiles. Ces découvertes ont été rendues possibles grâce à kepler une sonde de la nasa lancé en 2009 qui a marqué un tournant dans la recherche de la vie au delà de notre système solaire. Nous savons désormais que notre galaxie comptent à, elles seules des milliards d’exoplanètes semblable à la terre. Compte tenu de l’immensité de l’univers riche de plus de 100 milliards de galaxies comment ne pas envisager qu’il puisse exister quelque part une soeur jumelle de notre planète où la vie serait possible.
La trouvais n’est qu’une question de temps. Dans les environnements en apparence au style de notre système solaire la vie pourrait exister ou s’être développée autrefois. Peut-être découvrirons-nous des formes de vie dans les étranges lacs de méthane de titan. Dans l’océan caché sous la mystérieuse surface gelée d’Europe.
Dans les gigantesques geysers d’encelade ou encore sur les plaines désertiques de mars un autre foyer de vie dans le système solaire impliquerait que l’apparition du vivant n’est pas avare dans l’univers. Nous ne savons pas encore si la découverte d’une vie extra terrestre se produira d’abord sur l’une des planètes ou des satellites de notre système solaire ou bien sûr une exoplanète semblable à la terre. Mais une chose est sûre, nous n’avons jamais été si près de résoudre l’une des plus grandes énigmes du monde y at, il de la vie ailleurs. En tant qu’êtres humains, nous avons une notion instinctive de ce qu’est la vie les scientifiques ont pourtant le plus grand mal à définir ce qui demeure sans doute l’un des phénomènes les plus mystérieux de l’univers.
Pour que la vie apparaissent de la matière doit s’organiser d’une manière spécifique pour constituer une entité capable de transformer de l’énergie et de se développer. Cette entité doit également être en mesure de se reproduire. Nous ne savons toujours pas précisément ce qu’est la vie la définition empirique que, nous en avance, c’est que, je préfère en tout cas, c’est que la vie est une entité chimique autonome capable d’ évolution darwinienne par sélection naturelle. Certaines recherches affirme que la vie serait présente sur terre depuis déjà 4 milliard cent millions d’années cela signifierait que des organismes vivants, il serait apparu rapidement après la formation de notre planète.
Mais une question demeure la vie est-elle un phénomène propre à la terre. Les processus chimiques en lien avec la vie se sont enclenchées quelques temps après le big bang, il ya 13 milliards 800 millions d’années alors que l’univers n’existait que depuis 10 à 17 millions d’années la vie a pu apparaître indépendamment de très nombreux endroits du cosmos. Al’inverse, il est possible qu’elle n’ait surgit qu’en de rares occasions avant de voyager jusqu’aux planète habitable par l’intermédiaire de météorites et de comètes. Ce processus est appelée panspermie.
Dans un cas comme dans l’autre des molécules organiques complexes ont pu se former au sein du disque de poussière cosmique qui entourait le soleil avant la formation de la terre. Si ces hypothèses sont exacts des formes de vie pourraient être découvertes sur plusieurs autres planètes et satellites de notre système solaire et même sur des planètes d’autres systèmes stellaires. Depuis l’antiquité l’homme n’a cessé de se demander s’ils étaient seuls dans l’univers les astronomes s’intéresse depuis très longtemps à la question d’une possible vie extraterrestre, on retrouve des traces de ces spéculations dans les écrits des civilisations antiques aussi bien chez les grecs et les romains que chez les chinois fouillé le cosmos à la recherche de vie extraterrestre implique en premier lieu d’établir les conditions nécessaires à son apparition, il faut d’abord une source d’énergie une étoile proche par exemple pour permettre des réactions endothermique, c’est à dire accompagnée d’une absorption de chaleur certaines matières premières sont ensuite indispensable à l’élaboration de composés organiques en premier lieu le carbone se double d’une box sur terre, on a très bien identifier les briques du vivant le carbone hydrogène oxygène azote et quelques autres éléments ce sont ces éléments là que, nous recherchons sur d’autres planètes pour savoir si, elles peuvent abriter de la vie telle que, nous la connaissons les briques de la vie du moins telle qu’on la connaît sont des éléments extrêmement répandu dans l’univers. Autre condition indispensable à la vie la présence d’un liquide ou d’un gaz très dense qui joue le rôle de solvants et permet des réactions biochimiques rapide et stable.
Sur terre cette fonction est assurée par l’eau à l’état liquide mélo ne peut exister sous cette forme que si certains critères de composition atmosphérique et de température sont réunis maintenant que sont posés les conditions essentielles de la vie une autre question se présente. Combien de planètes ou de satellite de notre système solaire remplissent ces conditions. Hormis la terre trois astres de notre système solaire pourrait recéler à leur surface de l’eau à l’état liquide. La planète mars le satellite Europe en orbite autour de jupiter.
Et l’un des satellites de saturne encelade. Et depuis quelques années un autre candidat à la vie est apparue, il s’agit du plus gros satellite de saturne titan jusqu’en 2004 titan était une énigme aux yeux des astronomes en raison du dans ce brouillard opaque qui masque sa surface. Citons est le plus grand satellite de saturne et c’est aussi l’un des plus grands de tout le système solaire, c’est également le seul satellite connu à disposer d’une atmosphère dense en 2004 la sonde spatiale cassini parvient à proximité de titans où, elle libère un module de descente européen baptisé wiggins ce module va tout changer voici les images capturées par la caméra de wiggins au cours de sa descente dans l’atmosphère brumeuse du satellite. Titan possède des paysages très proches de ceux de la terre avec ses montagnes ses valets et c’est plein.
Lorsque la sonde se posent à la surface, elle révèle une information à laquelle personne ne s’attend des galets sont présents un peu partout semblables à ceux que l’on trouve dans le lit des cours d’eau terrestres quand, on observe ces galets, on se rend compte que leur forme est le résultat d’une érosion qui s’est produite au fond de torrent ou de fleuves mais, il ne s’agit pas de Pierres au sens où, nous l’entendons ses galets sont constitués d’au à l’état de glace et ils sont si durs qu’ils se comportent comme des Pierres. Comment ces galets ont, ils été érodée. De l’eau liquide et elle présente à la surface de titan. Avec des températures de l’ordre de moins 180 degrés l’eau devrait en principe s’y trouvaient sous sa forme solide.
Le radar de la sonde cassini a la réponse ces relevés topographiques permettent de découvrir que titan est recouvert de centaines de lacs. La grande différence avec les lacs terrestre, c’est qu’ils ne sont pas constitués dos mais de méthane et des tannes liquide sur terre ces deux hydrocarbures existe sous forme de gaz mais la températures glaciales qui règnent sur titan les maintient à l’état liquide taille d’un titan est un monde fascinant et c’est en quelque sorte l’endroit le plus étrange de tout le système solaire hormis la terre, c’est à notre connaissance le seul astre dont la surface est couverte de mer à l’état liquide même si, elles ne sont pas constitués d’eau, il n’ya jamais la moindre vague sur ses laquais sur ces mères car le méthane et l’état liquide sont beaucoup moins dense que l’eau. M les images radar fourni par cassini ont montré que sur titan le méthane liquide forme des nuages capable de provoquer des orages et même de se déverser en plus dans l’atmosphère de titan le méthane à l’état liquide se comporte de manière similaire à l’eau dans notre atmosphère le cycle de l’eau tel qu’on le connaît sur terre se retrouvent sur titan avec le méthane qui se dépose en pluie ou en brume à la surface, on a identifié la présence de canaux et de cours d’eau par lesquels le méthane s’écoule le long des reliefs de titan et provoque le même type de phénomènes géologiques que l’eau sur terre à l’état liquide le méthane connaît sur titan un cycle très proche de celui de l’eau sur notre planète le méthane pourrait-il jouer le même rôle que l’eau sur terre celui d’un liquide permettant à des molécules organiques de se dissoudre et d’interagir la réponse à cette question est loin d’être évidente les conditions présentes à la surface de titan présente pourtant des similitudes avec celle de la terre d’il ya 4 milliards d’années. Gardiens des aspects l’atmosphère de titan ressemble à celle de la terre lorsqu’elle était à un stade primitif mais avec des températures bien plus basse d’un point de vue chimique ce sont les mêmes processus probiotiques qui sont à l’oeuvre ce que l’on ne sait pas cécile vont donner naissance à des organismes véritablement biologique sur 10 tandis que ce soit à la surface ou en sous sol.
Cependant la température du méthane et de l’état liquide est inférieur d’environ 200 degrés à celles de l’eau liquide ce qui implique que toute réaction biochimique sur titan se déroulerait à un rythme extrêmement lent. Ces hydrocarbures sont également des solvants beaucoup moins efficace que l’eau est donc bien moins susceptibles de permettre l’apparition de la vie. Et comme, il fait si froid sur titan l’eau ne peut pas y jouer son rôle de solvants. Plusieurs expériences ont démontré que lorsqu, on reproduit l’atmosphère de titan des rayonnements uv permettent de générer des molécules complexes qui peuvent être considérées comme des étapes préliminaires à la vie certains se demandent quel genre d’organismes biologiques pourraient apparaître dans un milieu aux conditions physico-chimiques aussi étrange et à quoi ressemblerait une biologie basé sur le méthane mais d’après nos connaissances ce ne serait sans doute pas l’élément idéal pour fournir une structure valable à des réactions biochimiques suit.
Les découvertes réalisées sur terre au cours des dernières décennies ont montré que même dans les circonstances les plus improbables et les conditions les plus extrêmes la vie était capable de s’adapter à son milieu, nous savons aujourd’hui qu’il existe des organismes dits extrêmes au fil qui évoluent dans des conditions environnementales impensable quand j’étais étudiante, on croyait qu’aucune vie n’était possible dans un milieu qui seraient trop chaud trop froid trop acide trop basique est soumis à une pression trop élevée ou à des radiations trop intense des organismes ont pourtant évolué pour se satisfaire de ces conditions extrêmes. L’étude toute récente des extrêmophiles change radicalement la donne et elle nous oblige à revoir nos certitudes quant aux possibilités de trouver de la vie ailleurs les extrêmes au fil tels que les bactéries présentes dans l’environnement toxiques et les températures élevées des cheminées hydrothermales sous marine offre un aperçu des organismes ayant pu se développer sur d’autres planètes. La plupart des astres qui, nous entourent ont des milieux très inhospItalier parmi lesquels, on retrouve parfois des températures très basses et une exposition solaire minimale. La découverte des extrêmophiles est venue modifier radicalement toutes nos idées reçues sur ce qui est considéré nécessaire à la vie soudain notre système solaire, nous est apparu infiniment plus vaste en termes d’habitabilité, on s’est rendu compte qu’il abritait une quantité d’environnement potentiellement habitables qu’on ne pouvait pas imaginer avant.
Titan est en résumé un monde riche en matière organique ou le méthane obéit à un cycle comparable au processus atmosphériques et géologique du cycle de l’eau sur terre un facteur très favorable à l’apparition de la vie. 1 ces dernières années la nasa et l’agencé spatiale européenne ont travaillé ensemble au développement d’une mission spatiale non habitée destinée à dévoiler les derniers mystères de titan mais aucun programme n’a encore été validé. Parmi les projets proposés pour explorer les lacs d’état n’est de méthane de titan le titan submarine de la nasa est l’un des plus enthousiasmants ce sous-marin s’aventureraient dans les profondeurs du kraken marc la plus grande étendue liquide à la surface du satellite. Une telle mission constituerait la toute première exploration d’une mère extraterrestre une occasion de mesurer sa composition organique et peut-être d’en explorer les rivages.
Mais le programme titan summer rain n’est qu’au stade de projet. Il y à une fouille d’aproz fascinante pour se lancer dans l’exploration de titan mais la nasa n’est encore retenue aucune. Dans l’orbité de saturne se trouve un satellite aussi petit que mystérieux, il n’a rien de commun avec la soixantaine d’autres satellites que compte la planète géante cette minuscule une gelée de 500 km de diamètre se nomme en cela d’. Au cours des dernières années l’exobiologie, on a fait son objet d’étude privilégié car, on n’y a détecté des conditions très favorables à la présence de vie la majeure partie de nos connaissances sur en cela d’ sont le résultat de la mission cassini qui est en cours depuis déjà de nombreuses années la sonde cassini est un orbiteur qui étudie le système saturnien et ses différents satellites mais en se focalisant plus particulièrement sur en cela d’.
Pour la toute première fois la mission cassini, nous a permis de contempler en gros plan ce monde si distants. Voici les premières images prises par cassini la surface dans cela des blanches et scintillante et elle est parcourue de fissures de crête et de crevasses au pôle sud d’encelade cassini fait une surprenante découverte. La sonde photographie d’étranges crevasses plus grande que les autres qui apparaissent en bleu les scientifiques baptise ce groupe de quatre crevasses parallèle les rayures du tigre. D’une longueur de 120 km et profonde de plusieurs centaines de mètres, elles sont semblables lignes de faille que l’on peut observer sur terre après plusieurs passages à proximité dans ce laddh le radar thermique de cassini effectué un relevé inattendue les rayures du tigre devrait être plus froide que le reste de la surface puisqu’elles sont situés au pôle sud et pourtant de la chaleur sont des gages.
La température des crevasses et de moins 80 degrés soit 120 de plus que sur le reste du satellite. Et, il ne fait aucun doute que les informations qui ont été recueillis à cet endroit permettent de penser qu’il ya là un potentiel très fort d’environnement habitables mais la découverte la plus surprenante est encore à venir. Après une modification de son orbite cassini capture une image saisissante d’ immense panache de glace sont projetés dans l’espace. La sonde est parvenue à photographier des gerbes d’eau de vapeur et de cristaux de glace qui était expulsé de la surface au niveau du pôle sud d’encelade dans les panaches visible sur ces images réelles les particules de glace qui sont éjectés à des centaines de km d’altitude proviennent des rayures du tigre doses cette matière est éjecté par des fissures présentes à la surface et ces fissures semble communiquer avec l’intérieur du satellite mais comment un si petit satellite peut-il générer la chaleur nécessaire à une telle activité géothermique.
Les scientifiques pensent qu’en cela d’ disposerait d’une source d’énergie interne. Dans sa course orbitales autour de la masse énorme de saturne encelade s’échauffent sous l’effet des forces gravitationnelles ce qui fait fondre la glace à l’intérieur du satellite. Les panaches d’eau et injecter de la surface gelée dans cela d’ sont de gigantesques geyser semblable à ce qu’on observe sur terre dans les points chauds géologique. Cassini est équipé d’un détecteur capable de traverser ces panaches pour en prélever des particules et analyser leur composition chimique les fois où le détecteur a fonctionné, il a découvert que certaines de ces particules et des salles et or la seule manière pour du sel de s’incorporer à une particule, c’est de s’évaporer directement depuis un liquide, c’est un indice supplémentaire qui pousse à croire que de l’eau liquide et présentent sous la surface d’encelade là où sont expulsés ces panaches.
Mais cela suffit-il à prouver qu’ils existent sous la croûte de glace de la surface d’encelade un océan sutera, nous avions besoin de réunir davantage de preuves un élément supplémentaire à confirmer cette théorie lorsque, nous avons soigneusement analysé la trajectoire de cassini au-dessus danse la ddt pour mesurer comment la gravité du satellite agissaient sur la sonde les résultats de cette analyse ont mis en évidence une anoMalie de densité sous l’ensemble du pôle sud ce qui indiquait la présence sous toute cette région d’une étendue d’eau dont provenaient les panaches ses gerbes d’eau pourrait être relié à des cheminées hydrothermales formé sur le plancher océanique là où l’eau liquide du satellite est en contact avec la roche sous jacente un milieu des plus favorables à la vie. Mais jusqu’ici rien ne prouve que de la vie se cache sous cette croûte de glace, c’est pour cela qu’il est décidé que cassini doit traverser les panaches pour en collecter des particules. Les spectromètres de la sonde détecte alors quelque chose de fascinant dans les particules émises dans l’espace les briques chimiques fondamentales de la vie. Se ruent en cela des fascinants car pour autant qu’on le sache les trois ingrédients de base de la vie, ils sont présents de l’eau à l’état liquide des nutriments et des composés organiques m.
Mais ce monde si différent de celui que, nous connaissons abrite, il réellement la vie grâce au geyser, il serait possible d’accéder à la mer souterraine dans ce ladd et d’en analyser la composition si des organismes microbien, ils sont présents les particules de glace de la mer pourrait permettre aux astrobiologistes de les identifier. Deux missions d’exploration dans ce lot sont envisagées par la nasa dans un avenir proche. La première aurait pour objectif en cela des titans afin d’évaluer dans quelle mesure les deux satellites pourraient abriter de la vie. La seconde mission en attente de validation et de financement se consacrerait exclusivement à rechercher les traces de vie sur ans la ddt.
Il s’agirait de capturer des particules de glace de ce petit satellite de saturne et de les rapporter sur terre où, elle pourrait être analysé en profondeur. Techniquement, il est assez simple d’envoyer une sonde verts en salade pour capturer des particules de glace de ces panaches, on peut ensuite les étudier sur place ou bien les rapporter sur terre afin de les analyser en laboratoire. Malheureusement aucune de ces deux missions n’a encore été validé, nous devrons donc encore patienter avant de découvrir si une forme de vie est présente sur ce fascinant petit satellite de saturne. La prochaine étape de notre voyage à la recherche de la vie est aussi un satellite mais celui ci est en orbite autour de jupiter.
Six fois plus gros quand cela d’ est légèrement plus petit que notre lune Europe compte parmi les quatre satellites les plus volumineux de jupiter, il fait à sa surface une température glaciale de moins 160 degrés presque toutes nos informations sur Europe ont été obtenus grâce à une mission non habités de la nasa galileo dont la sonde est passé douze fois à proximité du satellite voici les premières images d’Europe prise par galileo le satellite est recouvert d’une couche de glace très lisse aucun autre objet ne possède une surface aussi uniforme dans tout le système solaire la surface d’Europe est unique dans notre système solaire, elle présente très peu de cratères un élément qui, nous indique que sa surface se renouvelle régulièrement à certaines zones de sa surface sont constitué de blocs de glace distincts mais qui semble s’imbriquer ces icebergs ont pu être déplacé par de la glace fondue ou de l’eau présente au dessous ces fissures se prolonge sans doute jusqu’au plancher océanique l’eau pourrait donc être soumises à un processus de percolation ce paysage si particulier est comparable à celui d’une banquise terrestre car les observations de galilée au ont permis d’aboutir à notre représentation actuelle d’Europe un astre possédant un océan liquide sous sa surface. En 1996 la sonde galileo a détecté la présence d’un champ magnétique à la surface de rap cela indique une certaine conduction électrique susceptible de provenir d’un océan salé d’une centaine de km de profondeur. Les études observations et relevé divers effectués au cours des dernières décennies dans tous accréditer l’idée qu’il y a bel et bien un océan sous la glace présente en surface. Il y a donc sur Europe le premier ingrédient indispensable à la vie de l’eau à l’état liquide.
Mais comment cette eau peut-elle rester liquide alors qu’il fait moins 160 degrés en surface. Une mystérieuse source de chaleur interne doit être responsable de la fonte de la calotte de glace la clé de l’énigme se trouve du côté de jupiter, il est possible que la frictions générées par l’orbité excentrique d’Europe autour de jupiter entraîne un échauffement de la classe la glace qui se trouve à la surface d’Europe se craquelle continuellement ce n’est pas une enveloppe hermétiquement fermées et ces fissures met en lumière la tension gravitationnelle générés par la rotation d’Europe autour de jupiter, on peut imaginer que toutes ces frictions produisent une grande quantité d’énergie et donc de chaleur et nous avons de sérieuses raisons de penser que ce processus est responsable d’un réchauffement de l’eau qui suppose du même coup l’existence de phénomènes hydrothermaux des volcans présent au plus profond de l’océan du satellite pourrait déboucher sur des cheminées hydrothermales qui fournirait l’énergie nécessaire pour maintenir de l’eau à l’état liquide deux des conditions nécessaires à la vie serait donc réuni un liquide en l’occurrence de l’eau est une source d’énergie cette chaleur à terme la présence de composés organiques sur Europe1 ferait grimper en flèche les probabilités de voir de la vie apparaître la sonde galileo a révélé que la glace du satellite contenait du dioxyde de carbone soumis aux instances radiation en provenance de jupiter ce dioxyde de carbone peut produire des molécules organiques simples telles que le formaldéhyde une étape supplémentaire vers l’apparition de la vie. Le système de marée observé sur Europe pourrait également favoriser le brassage dans l’océan des matériaux nécessaires à la vie mais cette théorie n’a pas encore été démontrée. En 2013 la nasa fait part d’une surprenante découverte effectuée sur la croûte de glace d’Europe une substance apparentée à l’argile et a été détecté et plus précisément des phyllosilicates.
Dans le mot phyllosilicates, on retrouve philo qui signifie feuilles et silicates qui est une manière savante de désigner les argiles cette famille de minéraux qui se forme dans de grandes quantités d’eau d’après certaines théories ces argiles faisait partie des premiers minéraux présents durant les premiers stades de la vie sur terre. Certaines hypothèses avance que la présence de ces minéraux résultera d’une collision avec un astéroïde ou d’une comète. La présence sur Europe d’eau à l’état liquide d’une source d’énergie et des indispensables briques du vivant ouvre la possibilité que de la vie soit présente en des lieux improbables. À 3500 mètres sous les glaces de l’arctique des cheminées hydrothermales rejette de l’eau hautement toxique à très haute température et dans l’obscurité la plus complète.
Les scientifiques pensent que de tels cheminée pourrait être présente sur le plancher océanique du satellite Europe, on a récemment découvert que plusieurs km² du plancher océanique de l’arctique était couvert d’organismes extrêmophiles vivant agglutinés autour de ces cheminées la présence de vie en un tel endroit renforce la probabilité qu’il y en ait sur Europe 1 l’Europe représente très certainement notre meilleure chance de découvrir un organisme vivant ailleurs que sur terre. La principale difficulté reste de prouver que la vie a bel et bien pu s’épanouir dans un environnement aussi étrange la nasa et l’agencé spatiale européenne ont prévu de lancer dans les années à venir deux missions distinctes afin d’évaluer si l’Europe peut abriter une forme de vie en 2015 la nasa a donné son feu vert au lancement d’une nouvelle mission vers Europe dans le but d’étudier son environnement et plus particulièrement son habitabilité. Le projet europa clippers de la nasa prévoit le lancement d’une sonde spatiale de plus de 3 tonnes en 2021 très autonome et résistant aux radiations, elle sera capable d’effectuer des survols répétait d’Europe à basse altitude. Nous regarderons aussi ce qui se passe sous la surface pour en savoir plus sur la structure de la banquise et de l’océan qui se trouve au dessous, nous utiliserons des radars des détecteurs de champs magnétiques et d’autres instruments de mesure en parallèle l’agencé spatiale européenne développe son propre programme la mission jupiter aïssi moon explorer dit mission douce prévus au lancement en 2022, elle devrait atteindre jupiter en 2030 la sonde juice passera trois ans au moins à effectuer des observations détaillées d’Europe mais aussi de la géante gazeuse jupiter et de deux de ses plus gros satellite ganymède et callisto.
Nous devront encore patienter une quinzaine d’années avant de savoir avec certitude s’il y avait ou non de la vie sur Europe. Parmi les quelques 160 objets célestes que compte le système solaire mars et la planète sur laquelle les astrobiologistes se sont penchés avec la plus grande attention. De nombreux indices laissent à penser qu’à un stade très primitif de son histoire mars était recouverte de vastes étendues d’eau avait une atmosphère dense et abriter une grande variété de molécules organiques, elle présentait en quelque sorte des caractéristiques très proches de celle de la terre j’ai coutume de dire que pour comparer mars à la terre, on peut se contenter d’utiliser des mots qui, nous sont familiers mars possède, elle aussi des montagnes des canyon des calottes glaciaires des dunes. Des indices montrent que mars était autrefois bien plus chaude et humide qu’aujourd’hui ces lits de rivières asséchées ces vastes canyon balayés par des inondations dantesque ou encore ces vallées creusée par des fleuves tumultueux sans parler de ces calottes polaires ou de ces volcans.
On a aussi décelé sur mars des minéraux qui se forme uniquement en présence d’eau de nombreux éléments attestent la présence d’eau à l’état liquide à un stade primitif de l’histoire de mars, il ya 4 milliards d’années environ et peut-être aussi de résiduel à une époque plus récente. Mais tout indique que ces masses d’eau ont disparu de la surface de mars, il ya plusieurs milliards d’années lorsque mars s’est refroidie et a perdu son atmosphère. Y at-il jamais eu de la vie sur la planète rouge. Oui un pis, on avait un morceau de sol martien dans notre laboratoire et il s’y trouve encore aujourd’hui, il s’agit de l’échantillon à l’analyse 84 00 1 un rocher qui a été arraché à la surface de mars, il y à des millions d’années à la suite d’un impact cette roche à dériver dans l’espace avant de venir s’écraser sur terre dans la calotte glaciaire de l’Antarctique en 1984 alors qu’on profitait du dégel printanier pour faire, nous relever d’échantillons des roches noires ont été retrouvées dans les eaux de fonte, c’est en analysant les gaz contenus à l’intérieur qu’on s’est rendu compte qu’on avait affaire à du sol martien.
On en a étudié des fragments à l’échelle microscopique ce qui a donné lieu à une controverse scientifique majeure certains d’entre, nous affirmait que des éléments présents dans cette roche ne pouvait être produits que par une action biologique mais l’autre soutenait au contraire qu’il pouvait être le fruit d’une action géologique. La recherche de vie sur mars a débuté, il ya plusieurs dizaines d’années. En 1975 le lancement des sondes viking 1 et 2 marque la première tentative de recherche de vie microbienne sur la planète rouge deux décennies plus tard en 1997 le programme mars pathfInder marque une nouvelle étape dans cette aventure cette mission révèle notamment l’abondance dans la roche martienne de silicium de fer de magnésium d’aluminium mais aussi de soufre de calcium et de titane en 2008 la sonde phoenix explore le pôle nord de mars. En creusant à quelques centimètres sous la surface la sonde découvre une matière blanche qui s’évapore quelques jours plus tard.
L’analyse de cette matière révèle qu’il s’agit d’eau gelée. Des relevés radar effectué par satellite au-dessus des 2 pôles de mars indique la présence d’une grande quantité de glace sous une couche de dioxyde de carbone gelé si toute cette classe venait à fondre mars serait recouverte d’un océan de 25 mètres de profondeur. C’est même satellite découvre par ailleurs que de la glace est enfouie sous l’ensemble des plaines désertiques. Cette révélation fait l’effet d’un coup de tonnerre la surface de mars est couverte d’immenses réserves d’eau mais peut-il y avoir de la vie au sein même de cette glace enfouis, nous savons désormais que des organismes extrême au fil sont capables de vivre dans des milieux semblables tels que les vallées sèches de mcmurdo en Antarctique.
À l’heure actuelle l’environnement martien est très sec et très froid en ce sens, on peut le comparer à celui de certaines régions de l’Antarctique d’aujourd’hui marc s’apparente à un désert où, il règne un froid intense si, on ouvrait un récipient contenant de l’eau, elle s’évaporerait très rapidement à cause de la sécheresse extrême de l’atmosphère comme sur mars, on a retrouvé en Antarctique de la glace enfoui sous une couche de sol sec à l’endroit où le sol était en contact avec la glace se trouvait une fine couche d’eau liquide dans laquelle des organismes extrême au fils se développer pendant une période très courte durant la majeure partie de l’année ces micro-organismes sont gelés, ils ne sortent de leur inactivité qu’au cours des quelques semaines les plus chauds de l’été le même phénomène serait possible sur mars des microbes vive peut être encore aujourd’hui quelque part dans le sous-sol martien à la faveur d’une fine couche d’eau résiduelles ou d’une véritable poche d’eau liquide plus, on descend dans le sol plus, il ya de chances qu’il y ait de l’eau liquide. Durant l’été martien la température peut atteindre 20 degrés à l’équateur de la glace enfouis pourrait alors fondre et permettre des conditions similaires à celles observées dans les vallées sèches de l’Antarctique les microbes qui se trouverait éventuellement sur mars sont sans doute protégé par une enveloppe de roche si l’on se réfère aux microbes qui ont été découverts sur des sites analogues sur terre ce genre de microbes vivant sous terre pourraient parvenir à se développer aussi sur mars. Il faudra attendre une future mission pour savoir si cette hypothèse est exact. Mais, il existe une autre raison valable de penser que de l’eau liquide est présente dans le sous-sol martial.
Les volcans gigantesque qui se dresse à la surface de mars tel l’olympus mons pourrait contribuer par leur chaleur à maintenir de l’eau à l’état liquide cela signifierait que des cheminées hydrothermales semblable à celle en activité sur terre pourrait exister aussi sur mars et si des extrêmophiles vivre autour des cheminées hydrothermales terrestre des organismes similaires sont peut être présent sur la planète rouge. La découverte d’eau liquide à la surface de mars changerait radicalement la donne en septembre 2015 la mission mars reconnaissance orbiter de la nasa, nous rapproche de cette éventualité. La sonde orbitale apporte la preuve la plus convaincante à ce jour que de temps à autre de l’eau à l’état liquide s’écoule actuellement sur mars. Et sinon ce n’est pas une eau pure et transparentes, elle est très trouble est très salée, c’est pour cette raison qu’elle ne s’évapore pas tout de suite à la surface de mars malgré la pression atmosphérique très faible qui y règne.
Deux mystérieuses traîner sont observés sur certains relief de la planète rouge grâce à un spectromètre imageur des chercheurs, il détecte la signature chimique de minéraux hydratés. C’est rennais semble s’écouler le long des pentes montagneuses les plus raides durant les saisons chaudes puis s’estompe durant les saisons froides. Cette découverte prouve enfin que de l’eau liquide est bel et bien présente de nos jours à la surface de mars. Peut-être que dans ces écoulements éphémère d’eau liquide des organismes microbien sont parvenus à survivre.
Il faudra attendre de futurs véhicules d’exploration martienne pour que ces hypothèses puissent être confirmés. L’état de nos connaissances sur mars promet d’être bouleversée par les prochaines missions de la nasa et de l’agencé spatiale européenne menée dans le cadre du programme d’exploration martienne. Lui, on explore mars plus nos découvertes, nous incite à penser qu’à une époque très ancienne les conditions s’ils sont trouvés réunis pour que la vie apparaissent une fois ce constat fait d’autres questions se posent la vie est-elle apparue sur mars si oui à quel endroit et après si longtemps qu’elle trace peut-il rester. Le but ultime des missions martiennes et de préparer le terrain pour une exploration humaine de la planète rouge ce qui représenterait un tournant majeur de notre histoire.
La première étape de cet ambitieux programme d’exploration et le projet exomars développé par l’ agence spatiale européenne et roskosmos son homologue russe la nasa a dû abandonner sa participation du fait de ses difficultés financières. Le premier objectif scientifique de la mission est de rechercher sur mars d’éventuelles traces laissées par une vie présente ou passée. Le programme exomars comprend le lancer de deux sondes successives. La première mission exomars 2016 est constitué de deux engins dont la sonde transgas orbiteur août et géo conçu pour être placé en orbite autour de mars une opération menée avec succès en octobre 2016 le but de cette sonde orbitale est d’étudier l’atmosphère martienne à la recherche de méthane et d’autres gaz qui pourraient être liées à des processus biologiques.
Malheureusement l’autre engin de la mission exomars le module ce qui apparaît lee s’est écrasé à la surface de mars. Mais une seconde mission devrait être lancée en 2020 son véhicule d’exploration sera équipée d’une foreuse capable de creuser le sol martien jusqu’à deux mètres sous la surface, il prélèvera des échantillons à différentes profondeurs dans l’espoir de découvrir de l’eau liquide. Il est prévu que la foreuse ne creuse que dans les deux premiers mètres de dépôts sédimentaires, c’est dans cette couche qu’il est le plus probable de trouver des traces de cellules viable. La nasa lancera son propre programme en 2020 le véhicule d’exploration de mars 2020 devra étudier divers types de roches et de sole pour mieux comprendre les conditions régnant autrefois sur mars et rechercher des traces d’anciennes de vie microbienne l’une de ses tâches consistera à suivre l’évolution de la météo et le comportement de la poussière dans l’atmosphère martienne, il devra aussi tester la possibilité de générer de l’oxygène à partir du dioxyde de carbone ambiant dans l’optique d’une future exploration habitée.
L’une ou l’autre de ces ambitieuse mission pourrait enfin apporter la preuve que la vie est ou a été présente sur mars. Les premières tentatives d exploration robotisée du système solaire remonte à cinquante ans à peine. En juillet 1965 la sonde marine eur 4 transmet les premières images en gros plans de mars. Ces images floues ne font apparaître nulle trace de végétation et encore moins deux canaux quadrillant la surface de la planète comme certains astronomes l’avait cru autrefois.
À cette époque l’opinion la plus couramment admise et qu’en plus d’être une planète rouge mars est une planète morte la possibilité que de la vie puisse y trouver est alors considéré comme infinitésimale. La situation a radicalement évolué depuis 1965 grâce aux progrès extraordinaires de la technologie qui, nous ont permis d’envoyer des sondes toujours plus sophistiqués explorez les astres voisin de notre système solaire. Les trois facteurs essentiels à la vie énergie liquide et briques du vivant sont bien plus répandue que, nous ne l’avions cru auparavant, il ne semble désormais plus si impensable de trouver de la vie ailleurs dans le système solaire même s’il ne devait s’agir que de vie microbienne une telle découverte serait d’une importance majeure pour l’humanité. Cela impliquerait que la vie n’est pas rare dans l’univers et qu’il est raisonnable d’envisager l’existence d’une vie intelligente ailleurs que sur terre au delà des limites de notre système solaire quelque part dans l’immensité du cosmos.
Nous savons déjà que le reste de l’univers abrite une profusion de planètes extraordinaires. Il existe ainsi une planète constituée en grande partie de diamant, il s’agit de carbone qui soumis à des pressions extrêmement fortes ces compacts et jusqu’à former du diamant la valeur estimée du minerai que contient cet astre est d’environ 26 15 millions d’euros une somme équivalente aux chiffres 26 suivi de 30,0 la valeur de la planète de diamants représente 1 6 384 quadrillions deux fois celle du produit intérieur brut cumulé de tous les pays du monde. Cette curieuse planète s’appelle 55 cancri eux situés à 40 années-lumière de la terre, elle est pourtant visible à l’oeil nu dans la constellation du cancer son diamètre fait le double de celui de la terre et sa masse est 8 fois supérieure. Bien plus loin de, nous à environ 750 années lumières du système solaire une planète encore plus étrange a été localisé dans la constellation du dragon une planète noir tres-2b et la planète la plus sombre de tout l’univers connu, elle ne renvoie qu’un pour cent de la lumière qu’il atteint.
Les scientifiques ne savent pas précisément ce qui explique ce phénomène sans doute est-ce lié à la présence dans son atmosphère d’éléments chimiques qui absorbe les rayons lumineux. Si, nous pouvions la contempler de près, elle nous apparaîtrait comme une boule de gaz presque entièrement noir tout juste empreinte d’un faible rougeoiement la surface de cette planète a en effet une température moyenne de 1100 degrés cette planète noir est une sorte de gigantesque charbons ardents ce qui en fait un astre aussi extraordinaire que peu propice à abriter la vie. Parmi les planètes les plus différentes de la nôtre, on peut aussi mentionner l’exoplanète wasp 12b qui est située dans la constellation du cocher à 870 années lumière du soleil cette planète est si proche de l’étoile wasp 12 qu’elle a pris la forme d’un oeuf sous l’effet de la force des marées de son étoile et son atmosphère est arraché de sa surface au rythme de 189 milliards de tonnes par an, c’est la planète la plus chaude de toute la voie lactée et sans doute aussi celles dont la vie sera la plus brève, elle est si chaude qu’elle a gonflé au point que son atmosphère se déversent directement dans les toiles la planète wasp 12b pourrait être entièrement englouti par son étoile d’ici dix millions d’années. Ces quelques planètes ne donne qu’un aperçu infime de l’invraisemblable diversité qui existe dans l’univers, elles nous font prendre la mesure de toutes les merveilles qu’il, nous reste encore à découvrir.
Il y encore 25 ans, nous n’étions même pas certain que des planètes orbitent est réellement autour des étoiles éloigné du cosmos, nous ne pouvions donc imaginer que de la vie puissent être présentes à la surface de l’une d’entre elles. Les premières exoplanètes n’ont d’ailleurs été découverte qu’en 1992. Cette année là 2 exoplanètes ont été localisés à 2300 années lumière de la terre, elle était en orbite autour d’un pulsar. À l’époque cette découverte a eu un retentissement extraordinaire au sein de la communauté scientifique, c’était le premier systèmes extra-solaires identifié à posséder plusieurs planètes.
L’une de ces deux planètes pouvait-elle abriter la vie malheureusement un pulsar est une étoile d’un genre très différent de ce qu’est notre soleil, il s’agit en réalité d’un astre issu d’une supernova un phénomène correspondant à l’explosion des étoiles les plus grandes de l’univers. Prends un pulsar est le résultat de l’explosion d’une étoile très massive un objet céleste qui aurait presque pu devenir un trou noir la découverte de ces deux planètes qui est intéressante mais un pulsar est trop différent d’une étoile normale pour en tirer des conclusions un pulsar ne semble pas à première vue constituer l’environnement idéal ou rechercher l’existence de planètes habitables les supernovas sont des phénomènes quasi apocalyptique capable de vaporiser tout planète ayant la malchance de croiser leurs orbites. Un tel monde serait baignée dans un cocktail dévastateur de rayons x et de particules chargées émises par une étoile dont le rayonnement visible serait si faible qu’il ne ferait régner à la surface de cette planète qu’une très vague clarté les chances que la vie émergent dans un milieu aussi singulier et hostiles sont donc dérisoire mais cette découverte confirme pour la toute première fois l’existence de systèmes planétaires au delà des limites de notre propre système solaire. Si, nous avons localisé deux exoplanètes à cet endroit pourquoi ne pourrait-il pas y en avoir d’autres ailleurs.
Ce n’est que trois ans plus tard keith identifié une exoplanètes en orbite autour d’une étoile ressemblant davantage à notre soleil cette découverte est significative car les conditions existantes sur une telle planète sont potentiellement similaires à celles des planètes de notre système solaire le 6 octobre 1995 la nouvelle est publié dans la revue nature l’étoile du système en question et 51 pegasi, elle est située à cinquante et une années lumière de la terre et la planète qui orbitent autour d’elle est une géante. La première planète localisée autour d’une étoile semblable à la nôtre et s 51 pegasi b, c’est une planète très inhabituel à commencer par sa taille immense, elle est plus grande et plus massive que jupiter et sa période de révolution est très courte puisqu’elle fait un tour complet autour de son étoile en seulement quatre jours. Cette découverte du à deux astronomes Suisse marque un tournant majeur dans la recherche d’exoplanètes. Depuis bien d’autres ont été localisés.
La recherche de nouvelles exoplanètes a été bouleversé en mars 2009 par une innovation majeure le lancement par la nasa du télescope kepler. Avant la mise en service de kepler, nous avions découvert l’existence de quelques centaines de planètes au sein de systèmes extra-solaires désormais, on en connaît plusieurs milliers et c’est en cela que kepler a tout changé. Le télescope spatial kepler a été spécialement conçu pour observer notre région de la voie lactée et découvrir des planètes d’une taille similaires ou inférieures à la terre les informations recueillies doivent permettre aux scientifiques de repérer parmi les centaines de milliards des toiles de notre galaxie celle qui serait entouré de telles planètes le principe est très simple n’importe qui peut le comprendre le télescope observant permanence une même zone du ciel au sein de laquelle, on dénombre 150 mille étoiles, il suit l’évolution de leur luminosité comme le fait impose m en photographie de temps en temps la luminosité de l’une ou l’autre étoile va diminuer de manière infime pendant quelques heures avant de se remettre à briller normalement quand cela se produit, c’est qu’une planète est passé devant l’étoile en question avec kepler, nous sommes passés d’une centaines de planètes découvertes à plus d’un millier sans compter trois à quatre mille autres planètes probables dont, on ne peut pas encore confirmer l’existence. Et notre poste d’observation avancé, il a localisé des milliers d’exoplanètes en attente d’être authentifiée, c’est une véritable maChine à trouver des planètes.
En 2011 kepler a effectué le tout premier recensement de la voie lactée afin d’estimer combien des toiles dans notre galaxie était entourée d’une planète semblable à la nôtre son verdict autour d’un milliard. Il existe peut-être un million 1 milliard ou même des centaines de milliards de planètes dans notre voie lactée capable d’abriter la vie telle qu’elle est présente sur terre sur combien entraîne la vie est-elle réellement apparu en ligne or la réponse dépend de la probabilité statistique de la vie à surgir quelque part cette profusion de monde habitable ne signifie pas que de la vie s’y trouve mais, il est vrai aussi que toutes ces planètes sont constitués les mêmes éléments que la terre alors à moins qu’il se soit produit quelque chose de très improbable sur notre planète, on va trouver de la vie un peu partout. Nous peut-on estimer quelle proportion de ces planètes pourraient abriter la vie. Afin qu’il y règne une pression atmosphérique suffisante pour que de l’eau liquide se maintiennent à leur surface la distance les séparant de leur étoile doit être comprise dans une fourchette spécifique appelée zone habitable la zone habitable, nous aide à chercher des planètes comme la nôtre le plus efficacement possible.
Bien entendu la terre se situe dans la zone habitable de notre système solaire les planètes sur lesquelles les conditions sont à peu près comparable à celle de la nôtre sont qualifiés de potentiellement habitables, c’est une zone de juste milieu où, il ne fait ni trop chaud ni trop froid, elle est appelée zone habitable mais, on la désigne parfois sous le nom de zone boucle d’or si une planète rocheuse de taille modeste s’y trouvent et qu’elle possède de l’eau cette eau a plus de chances d’être liquide, c’est donc un bon endroit où chercher de la vie. En 2013 des astronomes ont estimé à partir des données recueillies par kepler que dans notre galaxie 40 milliards de planètes de la taille de la terre pourrait se trouver en orbite dans la zone habitable de naines rouges et des toiles analogue au soleil. Parmi ces planètes 11 milliards d’entre, elles tourneraient autour d’une étoile tels que notre soleil ce qui constitue autant de monde potentiellement comparable à la terre. Le 18 avril 2013 les astronomes du programme kepler annonce une nouvelle découverte majeure.
Pour la première fois deux exoplanètes particulièrement semblable à la terre ont été localisés, elles sont en orbite dans la zone habitable d’une étoile de type non orange du nom de kepler 62. Ces deux planètes ont ainsi été baptisée kepler 62e. Et kepler 62 f. Elles deviennent aussitôt les planètes où les chances de trouver une vie extraterrestre semble le plus élevé.
Des examens plus poussés ont établi que de l’eau recouvrait sans doute en grande partie la surface de kepler 62e et kepler 62 f voire même en totalité. Kepler 62e a probablement un ciel très nuageux et il y fait chaud et humide jusqu’aux régions polaires. Kepler 62 f serait plus froide mais tout de même potentiellement habitables. Malheureusement, elle se trouve à mille 200 années lumière de, nous dans la constellation de la lyre.
Un an plus tard en avril 2014 une exoplanète encore plus analogue à la terre est découverte kepler 186 f. Kepler 186 f et la première planète de taille terrestre à être localisé en orbite dans la zone habitable d’une étoile sa découverte rend plus crédible encore l’espoir de trouver dans l’espace un monde à l’image d’une autre. Kepler 186 f fait le tour de son étoile en 130 jours et reçoit un tiers de l’énergie lumineuse que le soleil fournit à notre terre ce qui la place près de la limite la plus excentrée de sa zone habitable si l’on se tenait à sa surface l’éclat de son étoile au zénith, nous sembleraient comparable à la luminosité de notre soleil une heure avant un crépuscules terrestres. Kepler 186 f est situé à 492 années lumière de la terre dans la constellation du cygne sa découverte constitue un tournant majeur.
Kepler 186 f est sans doute la planète que, je préfère de toutes celles localisées dans le cadre du programme kepler, elle est de 10 à 20% plus grandes que la terre et autant qu’on sache, c’est très certainement une planète rocheuse en plus à l’est à la bonne distance de son étoile parente et si son atmosphère et l’effet de serre le permettent, il pourrait y avoir de l’eau liquide à sa surface. Suite à cette découverte d’autres planètes potentiellement comparable à la terre sont localisés bien que très proche des caractéristiques terrestre aucune ne semble cependant être une véritable soeur jumelle de notre planète. Mais grâce à la mission kepler l’espoir d’en trouver une un jour est désormais plus grands. Nous savons aujourd’hui que des dizaines de milliards de planètes sont en orbite autour des étoiles de notre galaxie la voie lactée, nous savons aussi que l’univers recèle des milliards d’autres galaxies si l’on considère que dans notre seul système solaire la vie est présente sur une planète et qu’au moins quatre autres de ces astres en abris peut-être la probabilité de trouver quelque part dans l’espace une exoplanète propices à la vie est sans doute très élevé.
Mais les découvertes du télescope kepler ne s’arrête pas là, il nous a aussi fourni les renseignements extraordinaire sur d’autres aspects de l’univers. Il a par exemple trouvé en 2011 une planète en orbite autour de deux étoiles et non une seule d’intel astres porte le nom de planète circumbinaire et celle ci a été baptisée kepler-16b kepler-16b est la planète découverte par kepler que beaucoup de gens préfèrent au lieu d’avoir une seule étoile parente, elle est en orbite autour de deux étoiles à la fois, c’est un phénomène qu’on croyait impossible un double coucher de soleil ça semblait réservé aux histoires de science fiction mais l’univers est plus étrange que ne l’avaient imaginé les scientifiques et les doubles soleil existe. Grâce aux futurs télescopes spatiaux en attente de lancement le nombre d’exoplanètes découverte devrait augmenter de façon spectaculaire au cours des prochaines années. À ce jour sur le millier d’exoplanètes dont l’existence est confirmée une cinquantaine se situe dans la zone habitable de l’étoile autour de laquelle, elles sont en orbite.
Ce sont donc toutes potentiellement des soeurs jumelles de la terre. Cela ne signifie pas nécessairement qu’elle soit en mesure d’abriter la vie mais, c’est une éventualité. Et en dehors de ces planètes, il existe une toute autre catégorie de monde où la vie est possible en 1998 une découverte et effectué près de l’étoile gliese 876 une naine rouge située dans la constellation du verseau à une distance de 15 années lumière de la terre. Une planète géante gazeuse est détectée dans sa zone habitable la planète gliese 876 b.
Trois ans plus tard une autre géantes gazeuses et découverte à proximité gliese 876 c. La vie telle que, nous la concevons n’est pas possible sur les planètes géantes gazeuses comme jupiter ou saturne mais, il est possible que les deux exoplanètes possède des satellites habitable à l’image de jupiter et de saturne. Elle faisait partie des premières planètes découvertes dans une zone habitable, on estime que si, elles ont des satellites, il s’agit d’astro rocheux sur lesquelles la température permettrait l’existence d’eau liquide. Les satellites et les planètes situées en zones habitables sont ceux où la présence de vie est le plus probable mais, il n’est pas exclu qu’un astre abrite de la vie en dehors de cette zone.
Les conditions que, nous avons identifiées sur certains satellites ou certaines planètes ont déjà bousculé ce que, nous croyons possible auparavant. La découverte des lacs des tannes et de méthane sur quittant a ainsi été accueillie avec la plus grande surprise de même que celle d’eau liquide à la surface de mars. Ce n’est pas parce qu’une planète et en dehors de la zone habitable qu’elle ne peut pas abriter de la vie en cela d Europe respectivement en orbite autour de saturne et de jupiter ne sont pas dans la zone habitable de notre système solaire pourtant des océans contenant de grandes quantités d’eau liquide sont peut-être présence ou leur surface. Si l’on prend en compte l’éventualité que la vie apparaissent dans des environnement aussi hostile alors, nous pourrions étendre nos recherche d’exoplanètes bien au delà des seules zones habitables.
Les chances de découvrir une exoplanète remplissant les conditions nécessaires à la vie sont dès lors bien plus élevé. Nous savons déjà que l’étude et l’analyse des planètes et satellites de notre système solaire est une gageure car ces astres sont situés à plusieurs millions de km de la terre. Pour les exoplanètes cet éloignement ne se mesure plus en millions de km mais en années lumière comment les astronomes peuvent t’ils étudier des astres distants de plusieurs millions de km. Avant le lancement de la mission kepler en 2009 la technique la plus éprouvée pour déceler la présence de planètes étaient la spectroscopie de plaire.
Cette méthode repose sur le fait qu’une étoile entouré d’une planète ne restent pas absolument immobile. Bien que beaucoup moins massive que son étoile parente une planète exerce sur, elle une force de gravitation résultant de sa rotation. Lorsqu’une planète passe derrière son étoile de notre point de vue, elle attire les toiles vers, elle mais, elle la rapproche de, nous lorsqu’elle passe devant ce qui provoque une oscillation de l’étoile les astronomes traque l’existence de cette oscillation des étoiles pour localiser les planètes à l’aide d’un spectrographe et de puissants télescopes, il examine la lumière en provenance de l’étoile étudié à la manière d’un prisme un spectrographe disperse la lumière de l’étoile pour faire apparaître les couleurs qui la composent en un spectre une partie de la lumière de l’étoile est absorbé par son atmosphère ce qui crée de minces bandes sombres dans le spectre lorsque l’étoile s’éloigne de, nous ces bandes se déplace vers la partie rouge du spectre quand, elle se rapproche, elle se déplace au contraire du côté bleu du spectre la signature spectrale de l’étoile apparaît ainsi légèrement plus bleue puis légèrement plus rouge qu’elle ne l’est réellement lorsque les astronomes cherchent une planète autour d’une étoile, ils n’ont ainsi qu’à étudier les variations périodiques de son spectre. Une fois établi la vitesse de l’étoile et le temps qu’elle met à revenir au même point, on peut calculer la masse de l’objet céleste qui a cet impact gravitationnelle si la masse est très petit, c’est une planète, c’est une méthode efficace qui a permis de découvrir la plupart des premières exoplanètes de son côté le télescope kepler s’appuie sur le transit des planètes pour les découvrir cette méthode repose sur l’observation d’une baisse minime de la luminosité d’une étoile qui survient lorsque l’une de ces planètes passent devant, elle la baisse de la luminosité dépend des tailles respectives de l’étoile et de la planète concernés quant à la durée du transit de la planète, il dépend de sa distance avec son étoile et de la masse de celle ci avec le télescope spatial kepler quand, on observe une étoile, on ne voit pas de planète directement juste une petite baisse de la luminosité de l’étoile quand une planète passe devant cette diminution, nous permet de déduire la taille relative de la planète par rapport à son étoile en combinant ces deux techniques photométrie des transits et spectroscopie de plaire les scientifiques sont en mesure de calculer le diamètre la masse et la densité d’une planète.
Ce type d’information les aide à sélectionner plus facilement les planètes susceptibles d’être semblable à la terre et à les identifier avec une plus grande exactitude. On estime que les planètes d’une taille comparable à celle de la terre ont davantage de chances d’être, elle aussi constitué de roches et sont plus à même de posséder une atmosphère proche de la nôtre. Dans le projet kepler une planète dit semblable à la terre est suffisamment petit pour être fait d’une matière assez solides pour qu’on puisse se tenir dessus mais ça ne veut pas dire qu’elle a une atmosphère où un océan en elle-même la taille d’une planète ne, nous apprend pas grand chose surtout en termes d’habitabilité en effet l’une de nos voisines venus à une taille et une masse très proche de celle de la terre mais la vie y est presque impossible. D’autres paramètres sont à prendre en compte tels que la gravité de surface ou encore la taille et le type de l’étoile parente une fois qu’on connaît la distance entre une planète et son étoile et la température de l’étoile, on peut estimer la température à la surface de cette planète.
L’un des critères essentiels pour évaluer l’analogie d’une exoplanète avec la terre consiste en sa composition atmosphérique l’étude atmosphérique d’une exoplanète peut être effectuée par spectroscopie au cours de son transit planétaire durant un transit planétaire la lumière provenant de l’étoile traverse la couche d’atmosphère qui entoure la planète l’analyse spectrale de cette lumière filtrée peut révéler la structure et la composition de cette atmosphère les astronomes pourrait identifier les planètes les plus semblables à la terre en recherchant la présence de biomarqueurs les traces que laissent la vie d’une planète dans son atmosphère le dioxygène que, nous respirons par exemple est présent dans notre atmosphère parce que la vie est apparue sur terre malheureusement, il est extrêmement difficile avec la technologie actuelle d’étudier précisément la composition atmosphérique de ses lointaines planètes la principale chose qui, nous empêche de détecter ces éléments, c’est la technologie les instruments utilisés aujourd’hui ne sont pas assez perfectionné pour, nous permettre de le faire efficacement mais cela devrait changer avec l’émission actuellement en projet tel que le lancement du télescope spatial james webb ou d’autres programmes en développement. Kepler observe en permanence plus de cent mille étoiles comparable à notre soleil à l’affût des variations de luminosité qu’accompagne les transits planétaires grâce à cette ingénieuse technique kepler a confirmé l’existence de plus de 1000 exoplanètes les scientifiques estiment que parmi, elles quelques dizaines peuvent être considérés comme analogue à la terre. Sachant que des centaines d’exoplanètes ont déjà été identifiés, on ne peut s’empêcher de se demander si l’une d’elles n’est pas une véritable soeur jumelle de notre planète. Le 23 juillet 2015 l’équipe de la nasa en charge du télescope spatial kepler annonce une nouvelle découverte fascinante.
Une exoplanète analogue à la terre vient d’être localisé son nom kepler 452 b en quoi cette nouvelle réplique potentiel de la terre dit fertelle de sel découverte précédemment kepler 452 b et la première planète apparemment rocheuses en orbite autour d’une naine jaune le même type des toiles que notre soleil, c’est une planète située dans une zone habitable dont l’étoile parenté presque un clone de notre soleil. À peu près aussi chaudes que notre soleil cette étoile est 10% plus lumineuse et 20% plus grande que lui quant au diamètre orbitale de kepler 452 b, il est seulement 5% plus large que celui de la terre sur cette planète une année dure 3 185 jours soit 20 de plus qu’une année terrestre. Depuis cette découverte la terre est un peu moins seuls dans l’univers le seul élément qui tempère notre enthousiaste concernant l’habitabilité de cette planète, c’est sa taille, on a calculé qu’elle serait 60% plus grande que notre terre, elle n’en reste pas moins la plus petite des planètes analogue à la terre trouvait dans la zone habitable d’une haine john semblables à notre soleil. À ce jour les scientifiques ne peuvent pas confirmer que kepler 452 b et bien une planète rocheuse mais si tel était le cas son poids serait d’à peu près cinq fois celui de la terre.
Cela établirait la gravité à sa surface à 2 g environ ce qui signifie qu’un humain aurez la sensation dit peser le double de son poids kepler 452 b pourrait posséder une atmosphère dense et nuageuse et connaître une activité volcanique. Ce qui est plus fascinants encore, c’est que cette exoplanète est installé depuis six milliards d’années environ dans la zone habitable de son étoile, c’est une dure est amplement suffisante pour que la vie soit apparue à sa surface ou dans ses océans. Kepler 450 b est plus ancienne que la terre d’environ un milliard et demi d’années si, elle faisait la taille de notre planète son étoile vieillissante et donc plus brillantes commencerait à provoquer l’évaporation rapide de l’eau de sa surface. Mais en raison de sa masse plus importante les astronomes estiment que kepler 452 b pourrait conserver de l’eau liquide pendant les 500 millions d’années à venir.
Pour l’instant, c’est la seule planète connue de son système situé à environ 1400 années lumière de la terre dans la constellation du cygne. Nous ne pourrons pas, nous y rendre de sitôt mais, il est fascinant d’imaginer qu’au fin fond de l’espace un monde très proche du nôtre existe peut-être déjà et si cette soeur jumelle de la terre existe pourquoi n’y en aurait-il pas des milliers d’autres moins d’un an après la découverte de kepler 452 b une nouvelle avancée importante a été réalisée. À l’aide des télescopes de l’observatoire européen austral au Chili des astronomes ont découvert trois planètes en orbite autour d’une étoile naine de faible luminosité située à 40 années-lumière de la terre dans la constellation du verseau, c’est monde représente sans doute à ce jour nos meilleures chances de détecter de la vie ailleurs dans l’univers le télescope belge trappistes a été utilisé pour suivre la luminosité d’une étoile naine de la constellation du verseau qui a été baptisé trappistes un à la fois bien moins chaude et bien plus rouge que notre soleil trappistes 1 est à peine plus grosse que jupiter d’un type très répandue dans la voie lactée la durée de vie de ces étoiles est considérable. Mais, c’est la première fois que ces planètes sont découvertes autour de l’une d’entre, elles les trois planètes ont une taille très proche de celle de la terre et elles sont susceptibles de présenter des régions habitable à leur surface.
L’attrait de cette nouvelle découverte tient au fait que ces exoplanètes analogue à la terre sont les premières dont la configuration permet d’y détecter de la vie pour rechercher la présence de vie sur une exoplanète de la taille de la terre avec la technologie actuelle, il faut qu’elle soit en orbite autour d’une étoile naine particulièrement froides telle que celle ci la luminosité d’une étoile plus brillantes comme notre soleil masquerait les éléments organiques présents dans l’atmosphère d’une planète pour le moment rien ne prouve que la vie soit présente sur l’une des exoplanètes découvertes à ce jour pas même sur les plus semblables à la terre comme kepler 452 b pourtant, il est difficile de ne pas se demander s’il aurait pu surgir quelque part une forme de vie doués d’intelligence ou susceptible d’évoluer vers une vie intelligente si l’âne ou l’autre de ces mondes éloigné s’est formé, il ya plusieurs milliards d’années comme la terre avant de devenir une planète habitable alors ces composés organiques ont eu le temps de se mélanger suffisamment pour s’organiser en organismes vivants ces organismes vivants ont pu se transformer en entités plus complexes dont certaines ont peut-être évoluer davantage encore jusqu’à permettre l’apparition d’être intelligents dotés d’une conscience. C’est pour cela que la science consacre diverses initiatives à la recherche intensive d’une vie intelligente dans l’univers. Le ceti l’institut de recherche d’une vie intelligente implantée en californie est à la pointe de cette démarche. Le travail de cet institut repose en grande partie sur l’utilisation de télescopes radio faute de pouvoir explorer physiquement le cosmos à la recherche d’une vie intelligente les chercheurs tendent l’oreille en quête d’un signal radio.
Ce que, nous recherchons, c’est un signal qui soit homogène, c’est comme quand, vous voulez écouter la radio en voiture ou tourner le bouton, vous n’entendez que des parasites et puis, il y à un bruit strident et vous tombez sur la station ce bruit distinctif, c’est celui d’un signal émis par un transmetteur ça n’a rien à voir avec des parasites naturels ceux qui proviennent de quasar de pulsar de galaxies de gaz chaud ou froid tous ces phénomènes célestes produisent des signaux radio mais ce sont des signaux anarchique, c’est pour cela qu’on recherche des signaux homogène et qui proviennent de l’espace voilà les critères dont, nous nous servons pour sélectionner les signaux qu’on recherche même si, on ne comprend pas, on sera identifié leur présence sur les ondes. Malheureusement, nous n’avons encore capté aucun signal susceptible d’être formellement attribué à une intelligence extraterrestre au cours des prochaines années la nasa et l’agencé spatiale européenne ont prévu la mise en orbite de plusieurs télescopes spatiaux qui devrait, nous aider à lever le mystère de la vie au delà des limites de notre système solaire. Le programme le plus ambitieux et le lancement du télescope spatial james webb prévue en 2018 ce projet est le fruit d’une collaboration internationale entre la nasa l’agencé spatiale européenne et la csa l’ agence spatiale canadienne cet observatoire sera à la disposition de milliers d’astronomes à travers le monde, il étudiera toutes les phases de l’histoire de notre univers les premières lueurs qui ont suivi le big bang la formation des systèmes stellaires capable d’abriter des planètes habitables et l’évolution de notre système solaire. Ce nouveau télescope trois fois plus puissant que hubble sera capable d’analyser la lumière des toiles filtrés par l’atmosphère des plus proches planète analogue à la terre, il recherchera des indicateurs de vie tels que les gaz atmosphériques généralement liés à des processus vitaux comme l’oxygène le méthane le dioxyde de carbone et la zot le télescope james webb, nous aidera à comparer les atmosphères de différents types de planète ce sera une nouveauté.
Un autre projet est en cours le satellite kheops conçu pour la recherche et l’identification d’exoplanètes. Développé par l’ agence spatiale européenne, il braquera des instruments de photométrie à ultra haute précision sur les étoiles brillantes déjà connu pour être entouré de planète. Avec tous ses lancements de télescopes spatiaux prévus pour les prochaines années, il ne fait aucun doute que la découverte d’une exoplanète habitable possédant une signature biologique crédible n’est qu’une simple question de temps. Si, nous parvenons à établir la preuve qu’une forme de vie existent sur l’une des milliards d’exoplanètes disséminés aux quatre coins de l’univers connu les répercussions d’une telle découverte changeront l’humanité à jamais.
Si, nous trouvions de la vie à un autre endroit du système solaire est une analyse génétique montre que cette vie est bien distincte de celle présente sur terre cela aurait un retentissement énorme. C’est si parmi les générations actuelles de terriens certains d’entre, nous auront la chance d’être témoin de ce tournant majeur dans l’histoire de l’humanité la découverte d’une vie ailleurs dans l’espace.