Tokyo : Capitale du Japon

Tokyo est la ville des superlatifs vibrante d’énergie cette mégapole est la plus densément peuplés au monde la capitale du Japon compte plus de 13 millions le citadin avec 5000 habitants au km² cette cité ultramoderne est l’une des plus performantes et dynamiques de la planète des forêt de gratte-ciels des parcs immense de gigantesques centres commerciaux des îles artificielles. Difficile d’imaginer que la ville fut rasée lors de tremblements de terre entièrement brûlé plusieurs fois ravagé par les bombardements pendant la seconde guerre mondiale mais après chaque catastrophe tokyo a su renaître de ses cendres encore plus conquérante. Bienvenue dans la ville phoenix le quartier d’affaires de shibuya et la vitrine de la tokyo futuriste. Des écrans géants en cercle l’un des carrefours les plus célèbres du monde le shibuya crossing tout est réglé comme sur du papier à musique les partitions s’écrivent sur les passages piétons d’abord, il ya le lamballais des voitures mais lorsque le signal passe au vert les piétons se lance à l’assaut du croisement.
Sans jamais se toucher, il progresse le plus rapidement possible à travers la foule compacte. Il faut faire vite car les clés tandis que 55 secondes pour passer de l’autre côté. Les retardataires doivent courir pour éviter de se faire écraser. Puis sans état d’âme les voitures reprennent possession de l’asphalté.
Le spectacle sans cesse répétées et hypnotique. Le croisement de shibuya est l’un des endroits les plus filmées au monde plus de 2 millions de Japonais le traversent chaque jour. Alors pour faire le buzz certains n’hésitent devant rien tels ces artistes de rue qui promènent leur collègue crucifié au milieu de la cohue. La station de shibuya déverse son flot de voyageurs.
Les businessmen banlieusards et fêtards qui viennent profiter des centaines de restaurants et de bars du quartier. Les clients de certains établissements préfèrent rester discrets. Il ne fréquente pas les salles de jeux vidéo mais des salles de pachinko un passe temps très Japonais entre flipper électronique et maChines à sous les premières maChines à portée de chicago apparurent dans les années 1920. Il s’agit d’insérer des billes de métal à la bonne vitesse dans le flipper afin de réaliser le plus de points possibles pour obtenir encore plus de billets.
Les jeux d’argent sont théoriquement interdite au Japon et on peut toujours échangé débit gagné contre de l’argent. C’est une économie souterraine pour la majeure partie carrelée pachinko sont contrôlés par la mafia Japonaise les yakuzas, c’est d’ailleurs pour cela qu’il est impossible de filmer à l’intérieur de ces établissements. Le jeu est un véritable fléau au Japon mais aussi une industrie prospère qui se hisse au troisième rang de l’économie des loisirs derrière la restauration et le tourisme. Si bouya est aussi le théâtre d’une histoire incroyable que connaissent tous les habitants de tokyo celle de hachiko le chien le plus dévoué dont, on puisse rêver.
Dans les années 1920 son maître un professeur d’agriculture, il y avait appris à l’accompagner le matin jusqu’à la station et à revenir l’attendre chaque soir à son retour du travail. Malheureusement le 21 mai 1925 le professeur ne rentra pas chez lui, il était mort sur son lieu de travail. Comme d’habitude hachiko était là à l’attendre fidèle au rendez vous. Pendant dix ans jusqu’à sa mort, il allait revenir tous les soirs dans l’espoir de revoir son maître.
Le chien empaillé et conservé au musée de la nature de tokyo et une statue a été érigée en son honneur à l’endroit exact où, il se tenait impossible de passer à shibuya sans faire une photo souvenir avec chico. Ce portail coloré marque l’entrée de takeshita daury la rue la plus branchée de la capitale. L’étroite allée piétonne se faufile entre des dizaines de magasins. La foule est compacte.
C’est le point de rendez, vous des ados branché qui viennent chercher le dernier accessoire à la mode et enrichir leur garde-robe. Magasins vintage tee shirt collector sur 400 m de long la rue takeshita daury est un inCubateur de tendance qui inspire les jeunes Japonais. Ce vendeur au look de rappeur interpelle le client. La concurrence est rude.
Le culte de la mode et la frénésie de consommation font partie du quotidien des tokyoïtes. Le but est avant tout de se démarquer des autres en adoptant les dernières tenues dans le vent. À pâques et si, tu adores i say l’exubérance de style et un certain goût pour la fantaisie qui attire les nombreux touristes. Plus loin la rue mène à harajuku un quartier plus aisé qui a été pris d’assaut par les créateurs de mode et les artistes dans les années 90 ici, on prend son temps pour découvrir ces charmantes petites rues tranquilles loin de la foule de takeshi t’adorer.
La vitrine du centre d’information expose une incroyable sculptures d’un artiste Japonais baptisé colorful rébellion. En fait, c’est une horloge. Cette composition colorée délIrante d’objets en plastique venue de notre jeunesse exprime bien l’état d’esprit particulier de ce quartier. Elle est la parfaite illustration de l’esprit kawaii qui désigne ce qui est mignon enfantin.
Car les habitants de tokyo sont de grands enfants, il adore tout ce qui rappelle leurs jeunes années comme les dessins animés les jeux vidéo. La culture kawaii est présente dans chaque recoin. Dans cette petite impasse perdu un lapin en bronze tout droit sortie d’alice au pays des merveilles narc de les promeneurs. Plus loin ce bâtiment abrite l’une des premières galeries d’artistes indépendants la design fest’arts les jeunes artistes encore inconnus peuvent exposer ici en toute liberté.
Comme, nous l’expliquent cause et l’attaché de presse de la galerie, c’est votre oeuvre est originale alors, vous pouvez exposer ici dans notre galerie, vous exposant les oeuvres d’artistes très différents par exemple dans cette salle, nous exposons des photos de ce range. Depuis plus de 20 ans ce lieu rassemble les dernières tendances en matière de peinture de photographies et de mode. Au début cet endroit a été ouvert par une styliste très connus ouzou qui ce n’était pas encore une galerie mais, on y organisait des happenings des défilés de mode des shows ouzou qui ne l’utilisé que pour ça à l’époque, il n’y avait que deux shows par an, c’est en 1994 que l’échelon des maris mais quatre ans plus tard, on l’a fait parce que les lieux ne servait que deux fois par an mais, on a gardé le même concept que le même esprit. C’est une association qui gère l’endroit et qui gagne de quoi faire tourner la galerie grâce aux revenus de ce petit restaurant.
Peut-être que la future star des mangas et parmi ses clients. Cet appétit pour la nouveauté les habitants d’harajuku dont développée après la seconde guerre mondiale lorsque les troupes américaines stationnées dans la ville. Il y avait installé un quartier d’habitation pour les soldats surnommé washington heights. Les Japonais n’avaient pas le droit d’y entrer.
Le quartier limitrophe d’harajuku de 20 à l’heure pour les jeunes l’endroit idéal pour découvrir l’american way of life ce monde de consommation et d’abondance qui tranchait avec la pauvreté de l’époque. Plus au sud voici aux motets sando les champs elysées de tokyo avec ses restaurants et ses magasins chics. Les Japonais sont les premiers clients des marques de luxe au monde. Cela à l’origine tokyo était un village de pêcheurs appelé et d’eau les shoguns en firent leur capital au xvème siècle.
Ce n’est qu’à la fin du 19e siècle qu’elle prit le nom de tokyo la capitale de l’est. Le quartier dassa coup ça, nous plonge dans cet univers médiéval le temps mythique des samouraïs. Le long de cette rue commerçante la ville a su préserver un peu de son histoire. C’est allé très animé délimité par deux portes sacré mène à l’un des plus anciens et des plus importants temple bouddhiste du Japon.
À l’entrée de ce quartier historique voici la caminar eamon la porte de la foudre, c’est une survivante. Cette immense structure en bois a été construite en 941, elle a brûlé plusieurs fois l’actuel date de 1960. Les touristes se pressent pour se prendre en photo devant le chat Chine l’imposante lanterne de papier de trois mètres et demi de circonférence et qui pèse 670 kg la base métallique renferme une sculpture de dragon, il suffit de la poussée est de faire un voeu pour s’attirer la chance. Une fois passée la porte là les canaliser daury remonte le long d’un matsuri une kermesse printanière avec ses commerces traditionnels.
Il paraît qu’ils si les dieux favorise les bonnes affaires à l’époque médiévale, on vendait plus tôt des cerfs volants et des jouets pour les enfants aujourd’hui sur les stands en plus des masques de pikachu et des perruques de geisha, on trouve des spécialités culinaires comme les maChines de succulents gâteaux de riz ou des biscuits fourrés à la pâte de haricot rouge fabriquée par un robot avec une précision toute Japonaise. Mais si l’endroit est si populaire, c’est parce qu’ici, on peut venir chercher la bonne fortune. Il y a les chats porte bonheur lehmann et qui n’est qu’au. Dans ce magasin, on vendait daruma ces figurines peintes ronde sans bras ni jambes ont la réputation de réaliser les voeux qui sont inscrits dessus.
On parle un des yeux au moment où l’on fait le veut et on pas l’autre lorsque celui ci s’est réalisé les daruma sont très populaires chaque famille en possède et attend patiemment que leur souhait se concrétise un jour. Avec ces trois lanternes la porte de la maison du trésor marque le bout de la rue commerçante, elle fut édifié à la fin du 10ème siècle est complètement détruite par un bombardement en 1945. Elle a été magnifiquement restauré depuis. Le temple de sensoji et le saint des saints du bouddhisme au Japonais.
Sur le côté la pagode des cinq histoires domine l’entrée du sanctuaire de ses 64 mètres de hauteur. Dans la cour centrale des échoppes traditionnelles vendent des porte bonheur. Ce sont de petites amulettes en soi ou en papier qui contiennent une prière. On peut également acheter des incantations divinatoires écrites sur des bandes de papier que l’on tire au hasard.
Si la prédiction est bonne le croyant recevra santé et bonne fortune. Si, elle est mauvaise, il faut alors, nous et le bout de papier près du sanctuaire pour conjurer le mauvais sort. Les Japonais sont très superstitieux et croit fermement au pouvoir des esprits et des fantômes sur le parvis trône un énorme brûlures à parfum en fonte les fidèles viennent si allumaient des bâtons d’encens dont, il rabat la fumée sur eux, on dit que si, elle atteint une partie du corps qui est malade la guérison est assurée juste en face se dresse le temple de la déesse de la miséricorde. La légende raconte qu’il ya 1400 ans deux pêcheurs rOman terre dans leurs filets une statue de la déesse perdu au fond de la rivière voisine.
Ils firent alors le serment solennel d’édifier un temple à la gloire de bouddha à l’endroit même de leur découverte. Depuis plus de mille ans ce sanctuaire est l’endroit le plus sacré de la ville. Mais hassa koussa est aussi connu pour avoir été le quartier chaud de l’ancien tokyo. Autour des temples des sanctuaires, il y avait un âne hammachi qui signifie la rue des fleurs l’endroit où vivait exercent les geishas au xviie siècle ces artistes dévoué aux plaisirs des samouraïs musicienne et danseuses étaient également les maîtresses de la cérémonie du thé.
La monarchie dassa koussa concentrent les appartements privés de geisha des maisons de thé des maisons de plaisir et des restaurants. Encore aujourd’hui une vingtaine de femmes exercent cette profession très codifié. Elles donnent leur spectacle lors de dîners d’affaires. Il en coûtera presque 1000 euros pour une heure passée avec ces professionnels de la tradition nippone malgré la foule à sa koussa a su garder son authenticité le quartier est populaire auprès des amoureux d’y passer de leur ville.
En plein centre de tokyo encerclés d’une forêt d’immeubles le coquio est un ensemble de parcs et de jardins qui dissimule le palais impérial. C’est l’une des promenades préférées des tokyoïtes. Au delà des douves se cache la résidence du 126e au preures du Japon akihito. Avec 2600 ans d’existence, c’est la famille impériale la plus ancienne au monde est toujours l’une des plus secrètes.
Ses origines remonteraient au vième siècle avant notre ère. Le parc coquio abritait le château d’edo l’ancienne demeure du shogun construite aux 15ème siècle et qui fut détruite lors d’un incendie en 1873. Mais, il reste encore quelques vestiges de cette époque comme, c’est élégant bâtiment blanc aux toits de tuiles anthracite ou 7 tours de trois étages aux lignes épurées dont l’ architecture ressemble beaucoup au château original. C’est sans aucun doute le plus célèbre des monuments du parc coquio.
Les visiteurs peuvent également admirer les tours de guet qui se dresse au dessus des douves et. Au pied des remparts les jardins ont été plantés avec 2020 du Japon. Dans les fossés les hérons et des canards barbotte en toute tranquillité. Mais les touristes se retrouvent tous devant le double pont qui accède au palais impérial.
L’entrée est bien gardé. L’empereur akihito la princesse michiko et leur enfant vivent dans le palais impérial édifié en 1888 puis détruits durant la seconde guerre mondiale pour être finalement reconstruit en 1968. C’est un bâtiment moderne qui se trouve juste derrière cette tour de garde et demeure invisible depuis l’extérieur du parc. Il n’est ouvert au public que deux jours par an lors de l’anniversaire de l’empereur et pour le nouvel an.
Aujourd’hui le monarque n’a plus le pouvoir politique peut les shoguns lui avait rendu à la fin du 19e siècle au début de l’ère meiji. Même s’il n’est plus considéré comme un dieu vivant, il reste néanmoins de ligne et divine. Pour les Japonais, il est le garant de l’unité nationale. Aujourd’hui le centre du pouvoir se trouve annie shinjuku un quartier ultra moderne sorti de terre au début des années 2000.
Les banques et les sièges des grandes entreprises se sont installées autour de l’hôtel de ville le metropolitan government building. Ce bâtiment imposant avec ses deux tours jumelles impressionnante de 48 étages a été achevée en 2006, il est l’emblème de la nouvelle tokyo depuis les salons panoramique en haut des tours la vue est imprenable. La ville tentaculaire s’étend jusqu’à l’horizon. Ici, on aperçoit l’immense parc yoyogi l’un des poumons verts de la capitale.
Plus loin des jardins de shinjuku abrite une énorme serre tropicale. Tokyo est en perpétuelle mutation. Des chantiers titanesques font surgir des quartiers entiers. Après la guerre la capitale s’est métamorphosé en un gigantesque centre urbain.
Avec sa banlieue le grand tokyo conclut de 38 millions d’habitants répartis sur 23 arrondissements. Niché entre les bretelles d’autoroute, on trouve encore quelques temples bouddhistes perdu au milieu des buildings. Le quartier de shinjuku rassemble les gratte-ciel les plus modernes de la ville comme la tour gakuen qu’aucun tower construite en 2008 cette école de mode et de design fait 50 étages et mesure 204 mètres de haut avec le 21e siècle tokyo est devenue une ville futuriste. Les meilleurs architectes de la planète y rivalisent d’intelligence et de créativité.
La capitale nippone est devenu une plateforme mondiale incontournable pour les affaires la finance la culture et les loisirs entre les buildings des espaces verts des parcs et des restaurants. C’est là que se retrouvent les salari même les employés des grandes corporations pour profiter de leur courte pause au pays du quasi plein emploi les sociétés embauchent des jeunes diplômés à la sortie de l’université. Beaucoup feront toute leur carrière dans la même entreprise même si ce système d’emploi à vie montre quelques signes d’essoufflement. C’est salarymen ont été les fantassins du développement économique impressionnant du pays depuis la fin de la guerre.
Reconnaissables à leurs costumes cravates, ils travaillent souvent plus de dix heures par jour et prennent rarement des vacances. Au pied des tours jumelles de l’hôtel de ville se tient à un festival ou le boeuf est mise à l’honneur. Il ya bien deux dans le parc central de 10,6 shinjuku la mairie a installé des tables pour que les connaisseurs puissent déguster le world you leboeuf Japonais. À l’origine élevé pour les travaux des champs les bêtes sont aujourd’hui engraisser pour donner l’une des meilleures viandes au monde.
Il existe de nombreuses sortes doit guillon la plus connue est la race de kobe s’offrir un steak est un véritable luxe les prix peuvent atteindre plus de 300 euros le kilo. Mais ce n’est pas un hasard si le boeuf de kobe est aussi recherché kameda un éleveur, nous en donne l’explication. La variété de ouaga young blood Japonais de kobe donne la meilleure de toutes les villes ce qui, c’est la grosse différence avec les autres gouin, c’est que, nous sommes les premiers du classement, il existe 15 niveaux de qualité seuls les deux premiers du classement ont le droit à l’appellation boeuf de kobe nos veuves sont tous des tj maouche le plus renommé du Japon, c’est la race originale des oies du Japonais, il fait que le buzz soit agi maoxi et qu’ils soient intégrés dans la région de comines recevoir l’appellation boeuf de kobe, il faut au moins trente mois d’élevage, c’est pourquoi selon revenir si cher pour détendre le beurre, on lui fait écouter de la musique classique, vous voyez comme, on les aime louis guilloux pouvoir une idée à ce niveau la sélune l’appellation de grande qualité, on s’occupe des boeufs avec autant d’amour que s’il s’agissait de nos propres enfants, c’est ça qui fait la différence au Japon, il existe 15 niveaux de qualité. Chaque éleveur a son petit secret.
Certains wagyu ont droit à des massages avec de la bière pendant que d’autres écoutent la cinquième symphonie de beethoven le boeuf de kobe à une vraie vie de nabab avant de finir dans nos assiettes. N’ai pas besoin de casser sa tirelire pour s’offrir cette viande délicate sur les stands, on propose des guidons pour la modique somme de 5 euros. Cette recette typiquement Japonaise consiste en un bol de riz vinaigré sur lequel, on dépose des tranches de boeuf sauter avec des oignons. Un véritable festin pour les tokyoïtes qui en profitent pour déjeuner entre amis ou voisins oasis de verdure au centre de la mégalopole le parc de yoyogi est sans doute le jardin public le plus populaire, il est apprécié par les habitants de la ville qui se retrouve ici le week end pour se relaxer faire du sport et jouer de la musique dans les allées tranquille, vous aurez peut-être la chance d’écouter ma shaykh aux tats et matsu le cycliste musiciens, ils travaillent tous ces instruments sur son vélo et s’arrête où bon lui semble, c’est un orchestre à lui tout seul, il joue du xylophone des cymbales du tambourin les castagnettes et même de leurs gars pousse sa musique joyeuse et printanière nécessite une synchronisation parfaite.
Plus loin un groupe répète une danse venue de l’archipel d’okinawa des îles situées à plus de 2000 km au sud de tokyo. Cette chorégraphie s’appelle une elisa. C’est à l’origine une danse sacrée qui est devenu très populaire. Les tokyoïtes ont beau être des sida, il n’en est pas moins le folklore et les spécialités des différentes provinces le métro parcours 370 km et compte 290 stations.
Chaque jour, c’est presque 10 millions de voyageurs qui empruntent les 13 lignes qui desservent la capitale. Les temps de trajets sont très longs, il faut une heure pour faire le tour du centre ville. La ligne yamanote et et circulaires et son tracé des limites officieusement le centre de tokyo. M, c’est l’une des lignes les plus chargées car, elle dessert les principaux quartiers de la ville dont akihabara.
Au nord de la ville ati à bara est le rendez-vous des otaku. Ce terme désigne ceux qui consacrent tout leur temps et leur argent à leur passion comme les jeux vidéo leur chanteuse préférée la lecture des mangas ou la collection de figurines. Akihabara et leur caverne d’ali baba. C’est là et nulle part ailleurs au monde que les amateurs de dessins animés pourront trouver tout ce qu’ils cherchent des éditions collector et l’univers de leurs héros favoris.
Les mangas littéralement dessin grotesque sont des bandes dessinées typiquement Japonaise. Mais leur origine est très ancienne. Il y à 1400 ans, on utilisait des rouleaux de bambou sur lesquels était un des histoires avec des images et du texte. Après la seconde guerre mondiale sous l’influencé des comics américains les personnages de manga deviennent des super héros.
Leur succès ne s’est jamais démenti depuis et les mangas les plus populaires se vendent en centaines de millions d’exemplaires à travers le monde. Dans les magasins d’akihabara les otakus recherche aussi les héroïnes ultra sexy des mangas pour adultes. Généralement ces figurines représentent de très jolies filles en silicone dans des poses suggestives. Ces poupées peuvent coûter plusieurs centaines d’euros.
Sur otaku road de plus en plus de café manga se sont ouverts où les employés sont habillés en soubrette. Les hôtesses rabat des clients dans la rue. Ils pourront choisir la serveuse de leur choix dans une liste et d’après photos. Certains de ces clubs proposent également aux clients de faire la sieste avec l’une d’entre elles.
En tout bien tout honneur bien sûr car, il s’agit de payer pour un peu de chaleur humaine et de réconfort dans cette ville où la solitude est un véritable fléau. Vous akihabara signifie le champ des feuilles d’automne car, c’est longtemps resté un immense terrain vague envahi par les arbres. Avec la construction de la station de métro en 1890 le quartier commença à se développer avant d’être entièrement détruit dans les bombardements de 1945. Avec la reconstruction les étudiants de tokyo s’installèrent ici pour ouvrir des petits magasins d’électronique.
Il revendait des radios et des appareils d’électroménager qui provenaient des surplus de l’armée américaine. Ces petites échoppes subsistent encore dans les ruelles proches de la gare. C’est alors qu’à qui a bar à 2,20 à Cuba la ville électrique. Ce quartier a été le point de départ de la tokyo moderne.
Des centres commerciaux géants se sont ouvert faisant d’akihabara le point de rencontre des geeks en quête des derniers gadgets électroniques avec son atmosphère survoltée et son architecture futuriste, c’est un quartier incontournable de tokyo. Un petit peu. Cette rame de métro aérien circulent sans conducteur entre des gratte ciel. Lancé en 1995 cette ligne est entièrement automatisé, elle a été la première de ce type au Japon.
Elle transporte cent mille passagers par jour. Le métro fil entre les immeubles avant d’entamer une boucle dans la baie de tokyo. Installé à l’avant de la ram, on a l’impression d’être dans un film de science fiction. Le front des gratte ciel se découvre au fur et à mesure.
Pour le prix d’un ticket le spectacle est garanti. Le métro glisse à présent vers odaiba la nouvelle tokyo. Là aussi la ville est en pleine mutation. De nouveaux immeubles qui utilise les dernières technologies des quartiers entiers qui sortent de terre.
Odaiba est une île artificielle. Et encore une fois le passé rattrape le futur à l’origine odaiba qui signifie forteresse fait construite par le shogun de tokyo en 1853, il fit bâtir quatre îles avec des fortins pour protéger la baie. Dans les années soixante dix le gouvernement décide de lancer des projets urbains pharaonique l’île du shogun en fait partie aujourd’hui odaiba mesure 6 km² les immeubles ont poussé comme des champignons pour autant l’urbanisme reste moderne et harmonieux. Cet ensemble architectural abric la chaîne de télévision fuji le bâtiment a été conçu par kenzo tanguay un célèbre architecte Japonais disciple de le corbusier.
Alors que d’aït baha était plutôt destiné au départ à recevoir des immeubles de bureaux dans les années 80 les premiers habitants ont commencé à s’installer depuis le succès de ce lieu ne s’est jamais démenti l’esplanade centrale offre une vue unique sur tokyo et ses gratte ciel. La gigantesque métropole se dresse fièrement comme la porte d’entrée de l’archipel la statue de la liberté posté sur la baie rappelle une autre ville célèbre New York. C’est la France qui a offert cette réplique au Japon en 1998. À l’origine, elle ne devait rester qu’un an mais, elle est devenue si populaire qu’il a été décidé de ne pas la démonter.
Le pont arc en ciel le rainbow bridge qui enjambe élégamment la baie de tokyo. Il mesure 5 170 m de long et porte une autoroute une nationale et une ligne de métro les deux archers lancé qui le soutiennent sont une véritable prouesse technique le rainbow borie j est l’un des emblèmes de la ville. En 1996 la mairie dé tokyo autorisés à la construction des centres commerciaux et de parcs d’attraction sur l’île. Odaiba va alors devenir l’endroit préféré des citadins pour passer le week end.
Le long des dogues en bois les visiteurs déambulent entre les salles d’arcade de jeux vidéo les musées les nombreuses boutiques et les restaurants du front de mer. Des écoliers venus de province en droit à une journée de divertissement dans une rigueur toute Japonaise. Au bout de ce petit restaurant une magnifique plage artificielle accueille les promeneurs. Cette large bande de sable entoure une petite baie tranquille.
Toutes les fins de semaine de nombreuses familles viennent ici pour se détendre et profiter de l’air marin. Il est presque incongru de voir ce véliplanchiste glisser tranquillement sur l’eau au cœur de cette mégapole. Mais la plage est presque déserte aujourd’hui car le temps de loisirs est compté. Une partie de ballon des mariés qui posent pour la postérité.
Un moment de détente en famille. Et, il faut déjà rejoindre la grande ville. Les derniers ferry vont bientôt partir. Celui ci ressemble à un vaisseau spatial avec ses formes arrondies et ses immenses baies vitrées ce n’est pas étonnant puisqu’il a été dessiné par un célèbre auteur de manga.
La traversée de la baie est une courte croisière très populaire. Le bateau passe sous les immenses arches du rainbow borie j avant de retrouver l’énergie vibrante de la cité. Direction le cœur de tokyo. Des écrans géants des centaine d’enseignés lumineuses, nous sommes à shinjuku re l’un des quartiers les plus animés.
Depuis la terrasse du cinéma apparaît un godzilla géant et menaçant. Ce monstre emblématique du cinéma catastrophe Japonaise est une créature anti delvienne qui irradiés par les essais nucléaires décide de se venger en détruisant tout sur son passage. La thématique du cataclysme qui finit toujours par s’abattre sur la capitale est directement inspirée des différentes catastrophes qui ont secoué tokyo. Mais la ville a toujours su renaître de ses cendres.
La station de shinjuku est la plus grande au monde. Elle compte une dizaine d’états ge et abrite des centres commerciaux et même des jardins d’enfants perché en haut des immeubles. Chaque jour plus d’un million de voyageurs transitent par ce noeud ferroviaire, on se croise la plupart des lignes de métro. Le soir, on retrouve les salarymen, ils se rejoignent ici pour passer un moment de détente avec leurs collègues avant de rentrer chez eux de l’autre côté de la ville parfois à plus de deux heures de transport.
Shinjuku a beaucoup souffert des bombardements américains cachais en bas des lignes de métro aérien ces petites rues étroites et tortueuses sont les seuls vestiges du quartier tel qu’il était avant la guerre. Il est très typique avec ces minuscules restaurants qui ne peuvent accueillir plus de cinq ou six clients à la fois. Chaque établissement a ses habitués parmi lesquels des artistes des cinéastes et des célébrités qui en ont fait leur lieu de prédilection. L’atmosphère y est plus authentique et convivial et la cuisine savoureuse.
Une fois rassasiés les salariés en goguette se dirige vers kabukicho un autre quartier chaud de tokyo, c’est là que shinjuku s’anime à la tombée du jour. Dans ces petites rues entre les karaokés très prisé des tokyoïtes et les love hôtel où l’on paie une chambre pour quelques heures les enseignes lumineuses des bars et des salons de massage affiche des visages d’hôtesses haute tenue de soubrette ou d’infirmière. La prostitution est interdite au Japon. Mais, il est courant pour les hommes de se faire aborder dans la rue par une entraîneuse.
Des activités illégales se passe à l’abri des regards et sous le contrôle cette fois encore des yakuzas qui détiendraient plus d’une centaine d’établissements dans ce quartier. Plus de mille de leurs hommes cadres irait ce petit territoire de quelques pâtés de maison seulement. La nuit tombe sur tokyo la tour de tokyo est l’emblème de la ville, elle rappelle curieusement la tour eiffel mais, elle est un peu plus haute en effet, elle mesure 3 133 m soit presque huit mètres de plus que son aîné le soir, elle brille de mille feux. Des millions de lumière s’affiche sur les immeubles de cette capitale qui ne dort jamais.
Cette mégapole est un miracle née de la volonté d’un peuple qui a toujours su se relever et progresser. Ils ont fait les tokyo une ville phoenix.